La revue de presse > Johann Carta
9 juin 2024
Cinq mises en examen pour corruption, trafic d’influence et extorsion autour de la mairie d’Ajaccio
Le directeur de cabinet du maire, Antoine Maestrali, l’adjoint aux sports, Stéphane Vannucci, et Johann Carta, un homme réputé proche de la bande du Petit Bar, sont soupçonnés d’être impliqués dans une affaire politico-judiciaire à tiroirs.
4 juin 2024
Enquête sur Hélène Gerhards, ancienne juge d’instruction en Corse : perquisitions au bureau d’un promoteur ajaccien
Ce mardi 4 juin, des perquisitions ont eu lieu au bureau d'un promoteur ajaccien. Ces dernières entrent dans le cadre d'une enquête visant une ancienne juge d'instruction en Corse, Hélène Gerhards. Mise en examen, elle est soupçonnée d'avoir des liens avec un proche supposé de la bande criminelle du "Petit Bar".
17 avril 2024
La magistrate Hélène Gerhards, mise en cause pour ses liens supposés avec le banditisme corse, va être remise en liberté
Juge d’instruction en Corse de 2010 à 2016, Mme Gerhards est mise en examen pour onze infractions, dont association de malfaiteurs et détournement de fonds publics.
6 avril 2024
Une magistrate mise en examen et écrouée pour ses liens avec le banditisme corse
Hélène Gerhards, proche du garde des Sceaux, vient d’être mise en examen pour 11 chefs d’inculpation en lien avec son activité de magistrate en Corse.
13 janvier 2023
Corse : soupçons sur les liens entre une magistrate et le milieu mafieux
Début décembre 2022, des policiers d’Ajaccio et de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales ont perquisitionné plusieurs domiciles d’Hélène Gerhards, conseillère à la cour d’appel d’Agen dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte, le 25 janvier 2021, sur fond de lutte contre le crime organisé insulaire. Les investigations portent sur des soupçons de « corruption », de « blanchiment de fraude fiscale », de « trafic d’influence », de « recours en bande organisée au travail dissimulé » et d’« association de malfaiteurs ». La justice cherche à savoir si cette magistrate, juge d’instruction en Corse de 2010 à 2016, puis vice-procureure à Toulouse avant de rejoindre, en 2021, la cour d’appel d’Agen, a pu apporter son aide à la mafia corse. Un doute qui jette un voile sur les décisions prises dans le cadre de ses fonctions. Pour l’heure, elle n’est, cependant, visée par aucune poursuite et n’a pas été entendue.