Mafia / Crime organisé

De nouveaux soupçons pèsent sur la juge Gerhards, déjà poursuivie pour douze délits présumés

Mise en cause pour ses relations avec des membres de la mafia corse et des détournements de fonds publics présumés avec l’argent du ministère de la justice, la juge Hélène Gerhards est désormais soupçonnée d’escroquerie à l’assurance.

Face aux « dérives mafieuses », les autonomistes corses contre les réformes juridiques

Face « aux dérives mafieuses » qui gangrènent la Corse, le pouvoir politique autonomiste local va proposer 30 mesures jeudi, refusant cependant les principales réformes juridiques envisagées pour lutter contre la criminalité organisée, à la stupéfaction des deux collectifs antimafia insulaires.

Nom de code « Email Diamant » : le procès pour blanchiment international du clan criminel corse du Petit Bar s’ouvre à Marseille

Montres et voitures de luxe, investissements immobiliers à Courchevel… A partir de lundi, le tribunal correctionnel plongera dans les rouages économiques occultes du gang. Parmi les vingt-quatre prévenus : le chef présumé Jacques Santoni et son premier cercle, certaines de leurs femmes,…

DZ Mafia : comment les milieux corses et marseillais se sont rapprochés

Le cas de Yassine Akhazzane, mis en examen dans une affaire d’extorsion et qui agirait comme prestataire de service, illustrerait, selon les enquêteurs, les liens noués par les insulaires avec le groupe criminel marseillais. Une alliance née au gré de rencontres lors de séjours en prison.

Narcotrafic : « Ces millions d’euros à disposition des groupes criminels sont des facteurs de corruption et de déstabilisation majeurs »

Franck Rastoul, procureur général près la cour d’appel d’Aix-en-Provence, estime, dans un entretien au « Monde », que le développement des extorsions à Marseille souligne les velléités de contrôle de territoires de la part de narcotrafiquants aux moyens financiers toujours plus importants.

Corse : l’équipe criminelle du Petit Bar renvoyée devant le tribunal correctionnel

Après six ans d’enquête sur les activités du groupe qui domine la Corse-du-Sud, les juges d’instruction marseillais assurent, dans leur ordonnance, avoir « mis au jour un véritable système auquel l’adjectif de mafieux pouvait, sans équivoque, être attaché ».