La revue de presse > Geoffrey Livolsi
30 janvier 2024
Soupçons de favoritisme dans l'armée : trois journalistes échappent à une mise en examen
Trois journalistes de Radio France et Disclose ont échappé mardi 30 janvier à une mise en examen à Paris après avoir été soupçonnés d'avoir révélé en 2018 l'identité d'un membre des forces spéciales soupçonné de favoritisme et qui avait porté plainte. Ils ont été placés sous le statut de témoin assisté, plus favorable, ce qui pourrait présager de l'intention du juge d'instruction de prononcer un non-lieu final.
23 janvier 2024
Trois journalistes de Radio France et Disclose à nouveau convoqués par la justice
Trois journalistes de Radio France et Disclose sont convoqués par la justice le 30 janvier à Paris, soupçonnés d’avoir révélé en 2018 l’identité d’un membre des forces spéciales soupçonné de favoritisme.
11 janvier 2024
Trois journalistes menacés d'une mise en examen pour leur enquête sur des soupçons de favoritisme dans l'armée
Il leur est reproché d'avoir révélé ou divulgué une information permettant l'identification d'un membre d'une unité des forces spéciales ou de l'état-major du commandement des opérations spéciales, une infraction passible de cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.
7 décembre 2022
Des journalistes de Disclose et Radio France convoqués à la DGSI
Le journaliste et cofondateur de Disclose, Geoffrey Livolsi, ainsi que ses confrères de Radio France, Benoît Collombat et Jacques Monin, sont convoqués, mercredi 14 décembre, par les policiers de la section des atteintes au secret de la défense nationale de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Les autorités leur reprochent d’avoir publié, en mars 2018, des informations sur des faits de favoritisme dans des marchés publics au sein du ministère des armées. L’enquête publiée sur France Inter dévoilait, documents à l’appui, que plusieurs hauts gradés avaient favorisé des sociétés privées dans l’attribution de contrats de transport militaire. Et ce, pendant plusieurs années, notamment dans le cadre de l’opération Barkhane au Sahel. Ces informations étaient et restent d’intérêt public. Elles font même l’objet d’une enquête du Parquet national financier pour favoritisme et trafic d’influence depuis 2017.