75 – Paris

Trafic d’influence : la banque Delubac, son gérant et un ancien conseiller de Nicolas Sarkozy seront jugés

Ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, Jean-François Étienne Des Rosaies était entré au conseil de surveillance de la banque Delbac en 2010. La justice soupçonne la banque de l’avoir nommé pour tenter d’obtenir une décision favorable du gendarme français des services financiers.

Dérives subventionnées par l’argent public : l’enseignement privé hors de contrôle

Malgré les importantes dotations de l’Etat et des collectivités, le dysfonctionnement des mécanismes de contrôle favorise les abus et certains établissements en profitent pour cultiver l’opacité sur l’utilisation de ces subventions. Au point qu’un nombre croissant de professeurs et de parents d’élèves s’organisent, malgré les pressions, pour dénoncer ces pratiques.

Affaire Darmanin-PSG : la justice a perquisitionné à Bercy

La justice a diligenté lundi une perquisition dans plusieurs services de l’administration fiscale du ministère de l’économie et des finances, à la suite des révélations de Mediapart sur le traitement de faveur fiscal accordé en 2017 au Paris Saint-Germain dans le cadre du transfert du joueur Neymar.

Liens présumés entre le RN et la Russie : le Parti radical de gauche saisit la justice

Le Parti radical de gauche a saisi la procureure de Paris sur des liens présumés du Rassemblement national avec Moscou et d’éventuels actes « d’intelligence avec une puissance étrangère » et « de corruption », au titre de l’article 40 du Code pénal, a annoncé lundi son président Guillaume Lacroix.

Morgane Colas-Weill, une ancienne de Carrefour pressentie comme dircab d’Amélie Oudéa-Castéra

Morgane Colas-Weill est pressentie pour devenir directrice de cabinet d’Amélie Oudéa-Castéra rue de Grenelle. Cette énarque, passée aux cabinets de Bruno Le Maire et Élisabeth Borne, a alterné entre secteur public et privé au cours de sa carrière. Les deux femmes se sont côtoyées chez Carrefour.

Non-lieu pour un policier de l’antiterrorisme, accusé à tort d’être un «ripoux» sur fond de règlements de comptes internes

Lâché par son administration, au bord du déclassement social, un policier en première ligne lors des attentats de Paris, a bénéficié d’un non-lieu après avoir été poursuivi pour "trafic d’influence" dans une vieille affaire de stupéfiants. Plus payé depuis des mois par son administration, malgré l’injonction de la cour administrative d’appel, il réclame aujourd’hui sa réintégration.