La dernière polémique de l’année pour Anne Hidalgo. Mardi dernier, le Canard enchainé révélait que lors de son voyage polémique à Tahiti en novembre 2023, la facture de téléphone de la maire de Paris avait explosé : plus de 30 000 euros en raison d’une mauvaise compatibilité avec le réseau local. Face à une polémique toujours plus forte sur les réseaux sociaux et aux questions lors du dernier Conseil de Paris, l’entourage d’Anne Hidalgo a dénoncé « un montant fantaisiste » auprès de BFM Paris Île-de-France et assure que la facture s’élève plutôt à 11 600 euros.
Selon « Le Canard enchaîné », la maire de Paris Anne Hidalgo se serait servie de son téléphone sans un forfait adapté lors de son voyage en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française en 2023
L'élue socialiste Chloé Ridel va coprésider l'intergroupe anticorruption du Parlement européen. Alors que Bruxelles cherche à colmater les brèches constatées après le Qatargate, l'eurodéputée demande plus de transparence et s'attaque à la pratique des "revolving doors".
La cour d'appel de Metz (Moselle) a décidé, ce jeudi 12 décembre, de relaxer l'ancien maire de la ville, Dominique Gros, de toutes les charges qui pesaient contre lui dans une affaire de prise illégale d'intérêts.
La justice examine des transactions immobilières de la mairie de Creil, un des derniers bastions socialistes des Hauts-de-France. Sur le départ, son édile, Jean-Claude Villemain, a validé plusieurs opérations de cession suspectes.
L’ex-premier ministre s’est rendu au Bahreïn en juillet dans le cadre d’une vaste opération diplomatique et judiciaire en faveur du royaume. Il a été rémunéré 30 000 euros pour ce déplacement de trois jours, d’après des documents consultés par Mediapart.
Plusieurs délits financiers lui étaient reprochés pour un préjudice total de 22 000 euros. Outre les peines de prison et d’amende, il est condamné à cinq ans d’inéligibilité ainsi qu’à une interdiction définitive de présider ou de diriger un établissement public.
Cette perquisition a été effectuée par la brigade financière de la police judiciaire de la ville. Ces recherches s’effectuent dans le cadre de deux dossiers distincts, reposant tous deux sur des soupçons de détournements de fonds publics et recel de ce délit.
L'ancien secrétaire d'Etat Thierry Mandon était jugé ce lundi devant le tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour "escroqueries" et "tentative de détournement de biens publics" alors qu'il était directeur de la Cité du design. Le Procureur de la République a requis 18 mois de prison avec sursis.