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Un contrat d’Eiffage dans le viseur du parquet national financier
Ouverte il y a un an, l’enquête du PNF sur le chantier de rénovation du pont Houphouët-Boigny à Abidjan remporté par le groupe de BTP est toujours en cours.
Revue de presse citoyenne
Ouverte il y a un an, l’enquête du PNF sur le chantier de rénovation du pont Houphouët-Boigny à Abidjan remporté par le groupe de BTP est toujours en cours.
Pascaline Bongo, aînée du défunt président gabonais Omar Bongo, soupçonnée de corruption passive d'agent public étranger au début des années 2010 au Gabon, a été relaxée lundi par le tribunal correctionnel de Paris. Aux côtés de la sœur du président déchu Ali Bongo, âgée de 68 ans, ont comparu début 2024 la société d'ingénierie française Egis et trois de ses anciens cadres, ainsi que l'homme d'affaires gabonais Franck Ping et l'avocate Danyèle Palazo-Gauthier. Tous ont été relaxés.
Bruno Le Maire a annoncé que le gouvernement allait s’attaquer aux escroqueries à la rénovation. Depuis des années, les services de l’État alertent sur les montants faramineux qui disparaissent chaque année dans les fraudes.
Damien Castelain comparaît devant le tribunal correctionnel de Lille (Nord) à partir de ce lundi 12 février. Trois dossiers seront examinés pendant trois jours, incluant des faits de détournement de fonds publics, trafic d’influence (favoritisme) et prise illégale d’intérêts. Deux anciens collaborateurs du président de la Métropole européenne de Lille, qui occupaient les postes de directeur général des services et chargée de communication, comparaissent eux aussi.
La justice se penche sur le montage financier autour d’un projet de construction d’une patinoire à Marseille, dans lequel un ancien directeur d’une société d’économie mixte est accusé de détournement de fonds publics.
L’enquête préliminaire pour prise illégale d’intérêt visant Jean-Louis Missika a conduit le PNF à conduire de nombreuses perquisitions. Outre les sièges des groupes immobiliers Gecina et Novaxia, les bureaux et le domicile de l’ancien élu PS de la capitale ont été visités par les policiers et les magistrats.
Une semaine après avoir annoncé sa démission de la présidence de la Région Grand Est, le groupe immobilier privé Réalités annonce que l’ancien urgentiste sera son directeur pour le Grand Est.
Limogée à la discrétion du gouvernement, la haut fonctionnaire estime avoir fait les frais de ses réserves dans un dossier d’urbanisme. Elle s’était déjà attiré l’opposition d’élus locaux qui l’estimaient trop rigide.
Marie Lajus a demandé, en fin de réunion, un aparté avec ses collègues et leur a expliqué qu’après mûre réflexion, elle pensait devoir sa mutation à l’affaire du Da Vinci Labs. Ce futur laboratoire est un incubateur de projets de recherche, destiné à croiser les technologies quantiques, l’intelligence artificielle et la biologie synthétique. Son promoteur (qui possède un hôtel dans le coin) entendait bien s’installer dans le parc du somptueux château Louise de La Vallière, à Reugny. Le dossier n’en est qu’à l’étude, mais l’architecte des bâtiments de France a signalé que le château était classé et qu’on pourrait difficilement construire un bâtiment futuriste dans le parc ; la préfète a, elle, fait observer que le plan local d’urbanisme ne le permettait pas et qu’une dérogation serait juridiquement difficile à obtenir.
Vendeur d’hélicoptères de combat, de roquettes ou de bombes à destination de l’Afrique, Igal C. est suspecté d’avoir blanchi des millions d’euros dans l’immobilier parisien avec la complicité d’un promoteur de premier plan. La justice a saisi plus de 35 millions d’euros.