59 – Nord

Le maire de Valenciennes Laurent Degallaix placé en garde à vue

Le maire de Valenciennes Laurent Degallaix a été placé en garde à vue mardi à Lille. Il en ressorti mercredi. Deux plaintes ont été déposées contre lui en 2022 et en 2023 pour trafic d'influence et subornation de témoin. La première plainte a été déposée par une ex-salariée de la SAEM stationnement, une structure extra-municipale. La jeune femme avait été embauchée par le maire quatre ans plus tôt, alors qu'elle était intime avec lui. Elle lui reproche de l'avoir licenciée lorsqu'elle a mis un terme à leur relation.

Dix mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité requis à l’encontre du sous-préfet d’Aix

Bruno Cassette comparaissait en début de semaine devant le tribunal de Lille, où il devait répondre des faits de complicité de prise illégale d’intérêts et atteinte à la liberté d’accès aux marchés publics, lorsqu'il était directeur général des services à la Métropole européenne de Lille.

Auchan, Leroy Merlin, Decathlon : les milliards de la « nébuleuse » des Mulliez dans le viseur de la justice

A la tête d’un empire de la grande distribution, la richissime famille du Nord cultive le secret sur son organisation et sur la préservation de son patrimoine. C’est à la faveur du divorce d’une des héritières que les juges d’instruction ont été mis sur la trace d’éventuels «abus de confiance» et «blanchiment de fraude fiscale».

Le procès de Damien Castelain, président de la MEL, s’est ouvert à Lille

Damien Castelain comparaît devant le tribunal correctionnel de Lille (Nord) à partir de ce lundi 12 février. Trois dossiers seront examinés pendant trois jours, incluant des faits de détournement de fonds publics, trafic d’influence (favoritisme) et prise illégale d’intérêts. Deux anciens collaborateurs du président de la Métropole européenne de Lille, qui occupaient les postes de directeur général des services et chargée de communication, comparaissent eux aussi.

Trafic d’antiquités : le Palais des beaux-arts de Lille rattrapé par le scandale

Le musée a acquis en 2011 un portrait funéraire égyptien pour près de 100 000 euros avec l’aval du Louvre. Mais l’objet, dont la provenance s’est avérée douteuse, aurait été modifié visuellement. Saisi en mai 2023 dans la plus grande discrétion, il a été placé sous scellé judiciaire.