Métropole Européenne de Lille (MEL)

Damien Castelain, un petit tour au tribunal et puis s’en va pas

La justice passe… Damien Castelain reste. Vendredi 18 octobre, le président de la métropole européenne de Lille (MEL) dirigera les débats du conseil communautaire comme il le fait depuis une décennie. Mais pour ce conseil d’automne, le maire de Péronne‐en‐Mélantois se présentera dans de nouveaux habits : ceux d’un président jugé coupable de détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêts  et recel d’abus de confiance.

Prise illégale d’intérêts : le sous-préfet d’Aix finalement relaxé par le tribunal correctionnel de Lille

Il comparaissait mardi 10 juin devant la juridiction lilloise pour prise illégale d’intérêts et atteinte à la liberté d’accès aux marchés publics. Le délibéré a été rendu en début d'après-midi. le sous-préfet d'Aix, Bruno Cassette, a été relaxé par le tribunal correctionnel de Lille.

Dix mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité requis à l’encontre du sous-préfet d’Aix

Bruno Cassette comparaissait en début de semaine devant le tribunal de Lille, où il devait répondre des faits de complicité de prise illégale d’intérêts et atteinte à la liberté d’accès aux marchés publics, lorsqu'il était directeur général des services à la Métropole européenne de Lille.

Le procès de Damien Castelain, président de la MEL, s’est ouvert à Lille

Damien Castelain comparaît devant le tribunal correctionnel de Lille (Nord) à partir de ce lundi 12 février. Trois dossiers seront examinés pendant trois jours, incluant des faits de détournement de fonds publics, trafic d’influence (favoritisme) et prise illégale d’intérêts. Deux anciens collaborateurs du président de la Métropole européenne de Lille, qui occupaient les postes de directeur général des services et chargée de communication, comparaissent eux aussi.

Affaire des frais à la MEL : Damien Castelain sera jugé en juillet

Le président de la Métropole de Lille est convoqué au tribunal correctionnel de Lille du 3 au 6 juillet pour détournement de fonds publics en raison de la prise en charge de frais privés par la collectivité. Son ancien directeur général des services et une ex-conseillère personnelle seront à ses côtés pour une affaire connexe.