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Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
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Revue de presse citoyenne
Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
Des acteurs de l’opération destinée à blanchir – sans succès – Nicolas Sarkozy dans l’affaire du financement présumé libyen de sa campagne de 2007 témoignent contre l’ancien président dans « Complément d’enquête ».
Vingt ans après la création des huit juridictions interrégionales spécialisées de France (JIRS), consacrées à la lutte contre le crime organisé, un collectif de plus de 120 magistrats, emmenés par Audrey Bailleul et Marion Cackel, déplore, dans une tribune au « Monde », l’abandon contraint, au sein de ces instances, des volets financiers des enquêtes, pourtant cruciaux pour enrayer ce type de criminalité.
Vingt-sept personnes sont jugées à partir de lundi dans ce scandale d’évasion fiscale et blanchiment d’argent révélé en 2016 par « Le Monde » et 108 autres médias internationaux.
L’homme de 75 ans, qui sera jugé en mai avec une douzaine de consultants qui ont travaillé pour le groupe, a fait l’objet, avec une élue parisienne, d’une perquisition dans le cadre d’une enquête préliminaire du Parquet national financier. Plusieurs centaines de milliers d’euros ont été découverts en espèces.
Hélène Gerhards, proche du garde des Sceaux, vient d’être mise en examen pour 11 chefs d’inculpation en lien avec son activité de magistrate en Corse.
Des perquisitions sont en cours, mercredi 3 avril, à l’hôtel de ville du Havre et au siège de la communauté urbaine dans le cadre d’une enquête ouverte par le Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et harcèlement moral ».
La juge Hélène Gerhards, au cœur d’une enquête sur des soupçons d’infiltration de la mafia corse et de possibles détournements de fonds publics, a été placée en garde à vue. Une affaire explosive au vu de ses liens anciens avec l’actuel ministre de la justice.
Jean-Louis Missika, directeur de campagne de la maire de Paris lors des dernières municipales, vient d’être condamné par le tribunal correctionnel pour des missions qu’il avait acceptées dans deux groupes immobiliers à l’issue de son mandat en tant qu’adjoint en charge de l’urbanisme.
L’ex-ministre Xavier Darcos a été condamné à un an de prison avec sursis mardi à Paris pour prise illégale d’intérêts pour avoir recruté en tant que chancelier de l’Institut de France un associé d’affaires sans avoir signalé leurs liens. L’ancien ministre de l’Education nationale (2007-2009), âgé de 76 ans, a également été condamné à trois ans d’inéligibilité dans le cadre de cette comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), sorte de plaider-coupable.