Parquet National Financier (PNF)

L’État condamné pour faute dans la mise en cause de magistrats du PNF par Dupond-Moretti

Le tribunal administratif de Paris a estimé jeudi que l’Etat avait «commis une faute engageant sa responsabilité en mettant en cause publiquement» deux magistrats du parquet national financier (PNF) en 2020, dans l’affaire qui avait valu un procès inédit à l’ex-ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti.

Sarkozy lâche déjà Guéant et Hortefeux : « Que les autres s’expliquent, c’est pas moi quand même ! »

Avant même de rentrer dans le fond des accusations, le procès des financements libyens a montré, lundi 13 janvier, une réalité qui commence à poindre derrière l’énergie que met l’ancien président de la République à se défendre : il marche sur un fil.

Macron et McKinsey : la justice enquête sur des liens anciens et secrets

Les juges qui investiguent sur le rôle de McKinsey dans les campagnes présidentielles 2017 et 2022 du chef de l’État s’intéressent aussi au début de la relation entre la firme américaine et Emmanuel Macron, avant sa première élection, selon des informations de Mediapart.

L’ombre de Rachida Dati apparaît au détour du dossier des barbouzeries autour du PSG

Mis en examen, un ancien policier antiterroriste et ancien salarié du club parisien avait cherché à se renseigner, en 2019, sur les déplacements en avion d’une actionnaire de Renault et son avocat, qui venaient de porter plainte contre Rachida Dati et l’ex-PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn.

Un signalement visant Tikehau Capital atterrit au Parquet national financier

Un ex-cadre du groupe de gestion a dénoncé auprès de l'Autorité des marchés financiers de possibles pratiques anticoncurrentielles lors du rachat de LMB Aerospace fin 2021. Il affirme que le fonds cofondé par Antoine Flamarion et Mathieu Chabran a eu accès aux autres offres de rachat de ce fournisseur de l'industrie aéronautique et militaire.

Jugement clément pour des généraux accusés de favoritisme

DesDes peines modérées et quelques relaxes. Tel est l’épilogue du procès pour favoritisme et corruption qui s’est tenu en septembre dernier à Paris, où comparaissaient deux généraux en retraite, six officiers supérieurs de l’armée de l’air et un chef d’entreprise. Peu médiatisé, ce procès portait sur les conditions d’affrètement d’avions gros-porteurs pour les opérations extérieures (Opex) de l’armée française sur la période 2011-2018.