Banque / Finance / Capital-risque

La banque suisse UBS condamnée en France pour harcèlement moral envers des lanceurs d’alerte

La banque suisse UBS a été condamnée, lundi 10 mars à Paris, à une amende de 75 000 euros pour harcèlement moral – par sa filiale française – à l’encontre de deux lanceurs d’alerte qui avaient dénoncé le système d’évasion fiscale organisé par…

Fraude « CumCum » : l’intense campagne des banques pour empêcher les parlementaires de corriger la loi

Face aux parlementaires décidés à mettre fin à cette fraude fiscale sophistiquée, dans le cadre du budget 2025, le lobby bancaire a tenté jusqu’au bout de torpiller la mesure. Récit d’une intense bataille.

Rothschild & Co en passe de se payer une vedette de Bercy

Pierre-Olivier Chotard, en charge des entreprises en difficulté à Bercy comme secrétaire général du Ciri, devrait rejoindre Rothschild & Co pour y mener des fusions et acquisitions. Un pantouflage qui est hors du champ de contrôle obligatoire de la Haute…

Scandale « CumCum » : le gouvernement français refuse de bloquer des techniques de contournement de l’impôt sur les dividendes, révélées en 2018 par « Le Monde »

Des élus tentent de profiter des discussions sur le budget 2025 pour éliminer définitivement cette fraude fiscale sophistiquée, qui rapporterait entre 1,5 et 3 milliards d’euros de rentrées fiscales supplémentaires par an. Mais le gouvernement s’oppose à ces solutions.

Avant les législatives, les banques à l’offensive auprès de Bercy pour tenter de légaliser le « CumCum »

Le lobbying bancaire ne souffre ni répit ni trêve. Au contraire, anticipant un changement de gouvernement, les banques ont fait le siège de Bercy, ces dernières semaines, dans l’affaire dite du « CumCum » (du latin cum, « avec », sous-entendu « gagnant-gagnant », avec dividende). Leur objectif : obtenir de l’administration, avant le dimanche 7 juillet, le texte le plus favorable possible, pour pouvoir continuer à pratiquer ces activités controversées d’arbitrage de dividendes, dans un cadre réglementaire négocié, sans risquer d’être poursuivies.

Richard Ferrand, un si discret consultant du Crédit mutuel

Qu’est devenu l’ancien président de l’Assemblée nationale ? Depuis deux ans, il est consultant auprès de la présidence du groupe mutualiste pour près de 145 000 € d’honoraires, et alors qu’il est également administrateur du nouveau fonds sociétal de la banque. Un contrat qui suscite des réserves au cœur même de la direction.