La revue de presse > 07 - Ardèche
4 décembre 2024
L'ancien ministre du Travail Olivier Dussopt jugé en appel pour favoritisme
L'ancien maire d'Annonay et ancien ministre du Travail Olivier Dussopt est jugé ce mercredi 4 décembre devant la cour d'appel de Paris pour favoritisme. Il avait été relaxé en première instance.
24 janvier 2024
Le Parquet national financier fait appel de la relaxe de l’ancien ministre Olivier Dussopt
Le PNF a décidé de demander un nouveau procès à l’endroit de l’ancien ministre du travail, qui avait été relaxé, le 17 janvier dernier, par le tribunal judiciaire de Paris, dans une affaire de favoritisme sur un marché public au profit d’un géant français de l’eau, la Saur.
17 janvier 2024
Procès pour favoritisme : l'ancien ministre du Travail Olivier Dussopt relaxé
Olivier Dussopt, ancien ministre du Travail, est relaxé pour les faits de favoritisme pour lesquels il était jugé par le tribunal correctionnel de Paris. Olivier Dussopt était jugé pour favoritisme dans un marché public en 2009 alors qu'il était maire d'Annonay, en Ardèche.
14 juillet 2022
Jean-François Etienne des Rosaies, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, mis en examen pour trafic d’influence dans l’affaire Delubac
Déjà mis en cause dans l’affaire du « Kazakhgate », en mars 2015, M. Etienne des Rosaies a été mis en examen le 12 mai 2022 pour trafic d’influence et recel d’abus de confiance dans une tout autre affaire. Cette fois, il n’est pas question de soupçons de corruption internationale et de rétrocommissions en marge d’un contrat d’armement, mais d’un lobbying intense opéré depuis l’Elysée au profit de Delubac – l’une des dernières banques familiales françaises, dont le siège social est en Ardèche. La justice soupçonne M. Etienne des Rosaies d’avoir « multiplié entre les mois de juillet 2009 et mai 2010 les interventions et sollicitations » au sein de la présidence de la République et auprès de différents ministères « en vue d’obtenir une décision favorable » pour la banque dans le cadre de ses relations avec l’autorité de régulation bancaire. Le litige portait sur le ratio de solvabilité demandé à l’établissement dans un contexte de crise économique et bancaire. Très peu de temps après cet épisode, le haut fonctionnaire a quitté l’Elysée et obtenu un siège au conseil de surveillance de Delubac, où il a perçu plus de 500 000 euros d’émoluments entre 2010 et 2014.