Thomas Urdy rejoint Shein
Thomas Urdy, ex-conseiller ministériel passé par les cabinets de Marlène Schiappa et d’Aurore Bergé, est depuis janvier lobbyiste pour Shein.
Revue de presse citoyenne
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Thomas Urdy, ex-conseiller ministériel passé par les cabinets de Marlène Schiappa et d’Aurore Bergé, est depuis janvier lobbyiste pour Shein.
La haute juridiction a donné raison, vendredi 24 janvier, à un ancien conseiller de Marlène Schiappa, dont le retour dans un cabinet ministériel avait été bloqué.
Marlène Schiappa, Olivier Dussopt, Amélie Oudéa-Castéra, Sylvie Goulard ou encore Stéphane Courbit sont promus ce 18 janvier malgré les affaires dans lesquelles ils ont été éclaboussés à des degrés divers.
Un des plus proches ex-collaborateurs de Marlène Schiappa a rejoint le groupe mutualiste MGEN comme conseiller du président Matthias Savignac, par ailleurs compagnon de l'ancienne ministre.
Un ancien conseiller de Marlène Schiappa s’est vu interdire en début d’année de retourner en cabinet ministériel. Il conteste la sanction de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, dont il n’avait pas respecté les règles sur les mobilités entre le public et le privé.
Management violent, collusions politiques, acrobaties financières… Longtemps fleuron du conseil aux grands patrons, l’agence est dans la tourmente, malgré le recrutement tape-à-l’œil de l’ex-ministre Marlène Schiappa. En cause : les frasques de son patron, Matthias Leridon, qui essore ses salariés et mélange allégrement dépenses professionnelles et personnelles.
Si certains ex-membres du gouvernement sont clairement menacés et doivent être placés sous protection policière, d’autres bénéficient du prestige de la voiture officielle avec chauffeur et anges gardiens sans justification claire.
L’artiste controversé a offert des œuvres à des ministres, des conseillers du président et même à Brigitte Macron. Le secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler, dont l’épouse prodigue des conseils à Richard Orlinski, a lui aussi reçu sa « magnifique » statuette en janvier.
La Cour des comptes épingle ce lundi dans un rapport la gestion jugée « inquiétante » des subventions gérées par le secrétariat général du comité de prévention de la délinquance et de la radicalisation, à l’origine du scandale du fonds Marianne.