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Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
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Revue de presse citoyenne
Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
Présidé par Frédéric Thiriez, le Conseil national d’éthique de la Fédération française de football impose aux dirigeants de ce sport de remplir une déclaration d’intérêts avant le 30 juin. Une nouvelle disposition qui fait réagir les acteurs du ballon rond.
L’ancien maire de Poissy a été jugé coupable d’avoir « commis des faits de prise illégale d’intérêt en participant au recrutement » du fils de l’ancien directeur général adjoint des services de Poissy en tant que directeur de la jeunesse et des sports de la ville. Il a annoncé faire appel de la décision.
Plus de dix ans après son élection à la mairie de Poissy (Yvelines), le parquet de Versailles a requis lundi huit mois d'emprisonnement avec sursis contre le député macroniste et ex-maire LR de cette commune, Karl Olive, pour prise illégale d'intérêts pendant son mandat municipal. Le ministère public a également requis six et quatre mois de prison avec sursis contre deux autres prévenus, l'actuel directeur de la jeunesse et des sports à Poissy, et son père, ex-directeur adjoint des services de la mairie. Arrivé à la tête de la commune en 2014, Karl Olive est suspecté d'avoir favorisé par le biais d'un montage juridique le recrutement du premier au poste de directeur de la jeunesse et des sports de la ville.
Le Variétés Club de France et la famille du journaliste Jacques Vendroux ont mis en œuvre un juteux business autour des matchs de football caritatifs auxquels participent des personnalités, dont le président Emmanuel Macron. Des chefs d’entreprise peuvent payer jusqu’à 75 000 euros pour notamment accéder au dîner offert par l’Élysée après un match. Cet argent-là n’est pas réservé aux bonnes œuvres.
Depuis 2011, les députés français doivent déclarer à un déontologue les dons et invitations de plus de 150 euros dont ils bénéficient. Malgré cet exercice de transparence, des interrogations déontologiques subsistent.