Inspection générale de la Police nationale (IGPN)

Une perquisition a été menée, début février, au siège du Paris Saint-Germain

Une perquisition a été menée par les enquêteurs, début février, au siège du PSG et de la chaîne BeIN Sports – appelé « La Factory » – à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). La perquisition a été confirmée de source judiciaire, sans aucune précision, « celle-ci étant couverte par le secret de l’instruction ».

Montres, faux papiers et fichiers de police : le procès d’un canal Telegram où tout avait un prix

Huit personnes, dont deux policiers adjoints, doivent être jugées au mois de mars à Paris. L’aboutissement d’une vaste enquête sur un réseau de revente de montres de luxe contrefaites, de cartes d’identité et d’informations tirées des fichiers de police.

Derrière la fraude au concours de commissaire, le parfum d’un nouveau scandale policier

L’IGPN cherche à savoir si la hiérarchie policière n’a pas freiné l’enquête sur Frédéric Dupuch, flic de haut rang en charge de la si décriée réforme de la PJ, prêt à tricher pour que sa maîtresse devienne commissaire.
Le haut fonctionnaire est soupçonné d’avoir favorisé lors de ce concours sa maîtresse, la commandante Faïza A., 44 ans, une petite main de la Direction générale de la police nationale (DGPN) dont la révocation a également été demandée. Ces basses manœuvres ont conduit, fin mai, à la mise en examen des deux amants de la place Beauvau pour « fraude à un concours public ». Mais ce scandale individuel en cache-t-il un autre, capable d’entacher plus largement la police ? L’IGPN, la police des polices, cherche à savoir aujourd’hui si la hiérarchie policière n’a pas tenté de ralentir l’enquête sur Frédéric Dupuch parce qu’il portait la réforme de la départementalisation dans la police voulue par le gouvernement, et si le haut fonctionnaire n’a pas lui-même été alerté qu’il faisait l’objet d’une enquête.

PSG : un réseau occulte d’ex-policiers au service du club dans le collimateur de la justice

Trois hommes, dont deux anciens policiers et un ancien salarié du PSG, ont été placés en garde à vue ce mardi dans les locaux de la DGSI et de l’IGPN, dans le cadre d’une enquête tentaculaire portant sur des monnayages d’informations pour diverses institutions, dont le club parisien.