Direction nationale de la Police judiciaire (DNPJ)

Bernard Petit, ex-patron de la PJ parisienne, relaxé dans l’affaire des fuites au 36 quai des Orfèvres

L'ancien patron de la police judiciaire parisienne Bernard Petit a été relaxé mardi par le tribunal correctionnel de Paris, dans l'affaire des soupçons de fuites au 36, quai des Orfèvres, ancien siège de la PJ. Près de huit ans après son limogeage début 2015 dans la foulée de sa mise en examen pour violation du secret de l'instruction, l'ancien policier de 67 ans a été blanchi par la juridiction, suivant ainsi les réquisitions du parquet lors du procès.

Affaire des « fuites au 36 », quai des Orfèvres : des figures policières devant la justice

Dix-neuf prévenus au total, pour beaucoup issus de l’élite policière – à l’époque encore installée à la mythique adresse du 36, quai des Orfèvres à Paris –, vont défiler à partir de lundi 12 septembre et durant trois semaines devant la 11e chambre correctionnelle de Paris. Ils devront notamment s’expliquer des fuites d’informations sur une enquête en cours. Parmi eux, l’ancien patron de la police judiciaire (PJ) Bernard Petit, aujourd’hui âgé de 66 ans, et l’ancienne figure du syndicalisme policier Joaquin Masanet.

Enquête sur l’affaire de prédation sexuelle Assu 2000 : plusieurs nouvelles mises en examen pour corruption, dont celle d’un policier

Un boxeur reconverti dans la sécurité privée et un fonctionnaire de police sont mis en examen pour corruption, soupçonnés d’avoir fait partie d’une équipe payée par Jacques Bouthier, l’ex-PDG du groupe de courtage en assurances, pour étouffer l’affaire. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a demandé une enquête administrative confiée à l’IGPN.

Un cadre d’Alliance Police nationale mis en cause pour « abus de biens sociaux », « extorsion » et « corruption »

J-M Huguet, membre du bureau national d’Alliance Police nationale est convoqué devant un tribunal correctionnel pour abus de biens sociaux, blanchiment et faux. Il doit aussi passer en conseil de discipline pour extorsion de fonds et corruption. . Les faits reprochés seraient en lien avec l’activité professionnelle d’une ancienne compagne, sur la période 2015-2017.

3 ans de prison requis contre un policier du 18e arrondissement pour corruption et trafic d’influence passifs

Le ministère public a requis ce jeudi après-midi une peine de trois ans de prison, dont deux ans et huit mois avec sursis, au deuxième et dernier jour du procès de Michel M., le policier, aujourd’hui retraité, jugé devant la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour corruption et trafic d’influence passifs.
Le sous-officier de 61 ans au casier judiciaire vierge est accusé d’avoir accepté, entre 2014 et 2018, des dessous de table de la part de petits bars et restaurants populaires du XVIIIe arrondissement de Paris, contre sa promesse d’intervenir en leur faveur dans des procédures administratives en cours ou à venir.