75 – Paris

Affaire des kits de campagne : la Cour de cassation valide la condamnation du RN

La plus haute juridiction française a approuvé ce mercredi 19 juin la condamnation de l’ex-Front national qui imposait à ses candidats l’achat de matériel produit par des amis de Marine Le Pen et remboursé par l’Etat au titre des frais de campagne.

Législatives : quinze candidats RN ont entretenu des liens directs avec la Russie de Poutine

Le Rassemblement national a investi au moins quinze candidats qui ont effectué des missions de caution électorale pour la Russie ou des visites à haut niveau à Moscou, ou bien qui ont été à la tête d’associations faisant la promotion du régime de Vladimir Poutine.

Législatives : Typhanie Degois, une lobbyiste de Pierre-Édouard Stérin en campagne sous l’étiquette RN-LR

Prise de guerre de Jordan Bardella et d'Éric Ciotti, l'ex-macroniste Typhanie Degois s'était reconvertie dans le lobbying en 2023, après son premier mandat de députée LREM. Son principal client : le milliardaire conservateur Pierre-Édouard Stérin.

Rodolphe Saadé, le milliardaire chouchou de Macron, échappe à l’impôt

Grâce à une niche fiscale sur le fret maritime et à l’optimisation via sa holding, le patron de CMA CGM, Rodolphe Saadé, ne paie quasiment pas d’impôts, alors que sa fortune a septuplé grâce à la crise du covid. La Macronie et le président en personne applaudissent.

Procès pour pantouflage d’un ancien conseiller ministériel : « On a l’impression qu’avec vous, c’est “Circulez, y a rien à voir” »

Quelques jours après la dissolution de l’Assemblée nationale et alors qu’une valse ministérielle pourrait se profiler, un débat inédit autour de la notion de « prise illégale d’intérêts » d’un conseiller ministériel contractuel parti dans le privé a eu lieu, jeudi 13 juin, au tribunal correctionnel de Paris.

Des réseaux d’influence prorusses ont soutenu Jordan Bardella pendant la campagne des européennes

Ces derniers mois, des réseaux prorusses ont fait la promotion de la liste du RN aux européennes et ont tenté de décrédibiliser des médias et « fact-checkers » français. Les services de l’État ont alerté le parti. Interrogée par Mediapart, Marine Le Pen a dénoncé un « mensonge » et « du n’importe quoi », avant d’être démentie par son propre parti, qui a confirmé ces informations.