Pendant quatre ans, l’ancienne mannequin Tasha de Vasconcelos a collaboré avec le groupe de l’homme d’affaires en Afrique. Avant de l’accuser de harcèlement, d’abus de pouvoir et de corruption.
Choisi en 2015 pour exploiter le nouveau terminal pour containers de Kribi, dans le sud du pays, l’homme d’affaires breton a été accusé de corruption par un ancien directeur général adjoint de l’une de ses filiales. Une enquête est en cours à Paris.
Total Professeurs Associés, une association qui met à disposition ses retraités et salariés pour des interventions bénévoles, n’est qu’un exemple de la présence grandissante de la major au sein des établissements d’enseignement supérieur.
À la suite de scandales à répétition, l'Inspection générale a livré un rapport secret, recommandant de confier la billetterie à une « autorité interne indépendante » et suggérant de créer une société commerciale, sur le modèle pourtant décrié du football.
« Le Monde » a pu consulter des échanges entre l’élu et le lobbyiste Jean-Pierre Duthion qui font mention de paiements pour des interventions, notamment à l’Assemblée.
Près de quatre mois après les débats à l’Assemblée nationale, la proposition de loi née de la commission d’enquête, sur les interventions des cabinets de conseil dans les politiques publiques, fait son retour au Sénat. En commission, les sénateurs ont restauré plusieurs dispositions phares de leur texte initial.
L’homme d’affaires comparaît à partir de mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est accusé d’avoir signé, à la tête de l’électricien public, pour 21 millions d’euros de contrats de conseil sans mise en concurrence. Au profit de figures de l’ombre du monde des affaires, comme Alain Bauer ou Jean-Marie Messier, également convoqués.
Le Variétés Club de France et la famille du journaliste Jacques Vendroux ont mis en œuvre un juteux business autour des matchs de football caritatifs auxquels participent des personnalités, dont le président Emmanuel Macron. Des chefs d’entreprise peuvent payer jusqu’à 75 000 euros pour notamment accéder au dîner offert par l’Élysée après un match. Cet argent-là n’est pas réservé aux bonnes œuvres.
Interrogé par un créateur de contenu durant un tractage pour les élections européennes, le président des «Jeunes avec Macron» (JAM) indique, face caméra, qu’il est «au chômage pendant la période de la campagne électorale» et qu’il «touche 2500 euros par mois».