75 – Paris

Possible conflit d’intérêts à la nouvelle autorité de sûreté nucléaire

L’actuel directeur général de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs peut-il prendre la tête de la future autorité de sûreté nucléaire, alors qu’elle devra se prononcer sur le centre de stockage qu’il a développé pendant dix ans ? La question secoue le monde de l’atome.

Jean-François Digeon, ex-commissaire de police employé par LVMH, condamné dans le cadre d’une CRPC

Recruté à la direction de la sécurité du groupe de luxe de Bernard Arnault, Jean-François Digeon a accepté une peine de huit mois de prison avec sursis après un «plaider coupable». Il ne comparaîtra donc pas, à partir du 13 novembre, au procès qui vise notamment Bernard Squarcini, ex-chef du renseignement intérieur, avec qui il travaillait.

Novo Nordisk espère se goinfrer avec son nouveau coupe-faim

Un géant de la pharmacie veut affamer la Sécurité sociale avec son coupe-faim Wegovy. Pour obtenir le remboursement de son remède "miracle" contre l’obésité, le labo Novo Nordisk mène un intense lobbying en France. Il s'est attaché la bienveillance de quelques "spécialistes", généreusement arrosés…

Total, L’Oréal… quand des multinationales dictent leur loi à l’enseignement supérieur

Libération s’est procuré des contrats de mécénat liant entreprises et universités : clause de non-dénigrement, possibilité pour les grands groupes d’influer sur le choix des conférences et des thèses… Une association de jeunes ingénieurs lance un appel à la transparence.

Valises de cash, « anomalies » comptables, démissions en cascades : Coallia, le géant de l’hébergement social d’urgence entre soupçons de fraude et colère

Poids lourd de l’hébergement et de l’accompagnement social, l’association Coallia est dans la tourmente. Cette association, fondée en 1962 par Stéphane Hessel sous le nom d’Aftam (Association pour la formation des travailleurs africains et malgaches) et dont l’objectif initial était…

Le Conseil d’État désavoue la Haute autorité pour la transparence de la vie publique

Alors qu’elle estimait que l’Institut Montaigne, comme tous les «think-tank», était soumis aux obligations déclaratives prévues par la loi pour la transparence de la vie publique, les sages du Palais Royal lui ont donné tort : un cercle de réflexion ne peut pas être considéré comme un lobbyiste.