Le maire de la commune du Barcarès a été arrêté dans l’Hérault ce dimanche 28 avril 2024 alors qu’il rentrait d’Afrique. Il serait toujours interrogé ce lundi en fin de journée sur des soupçons de favoritisme dans le cadre de l’organisation du marché de Noël.
Un mois après la mise en examen du maire LR d'Agde pour détournement de fonds publics et son placement en détention provisoire, sa majorité municipale s'est constituée partie civile "pour clarifier la situation". Son premier adjoint lui a aussi écrit en prison pour "connaître ses intentions".
En détention provisoire depuis un mois, Gilles d’Ettore, élu depuis deux décennies, a reconnu avoir été influencé par Sophia Martinez, une médium à la belle réputation locale, à qui il a accordé largesses et cadeaux via des entrepreneurs locaux.
Mis en examen pour détournement de fonds publics notamment, le maire d’Agde Gilles D’Ettore (LR) est également visé par une vaste enquête sur le plus grand chantier d’Occitanie, mêlant un promoteur fantôme et une luxueuse villa.
Deux cadres de la société de BTP Eiffage ont été mis en examen pour abus de confiance faux et usage de faux dans le cadre de l 'affaire impliquant le maire d'Agde Gilles D'Ettore suspecté de détournement de fonds publics au profit d'une voyante. L'un des deux a été placé en détention provisoire.
Le maire d’Agde, Gilles d'Ettore, est incarcéré depuis bientôt dix jours. Il est mis en examen pour "corruption passive, prise illégale d’intérêt et détournement de fonds publics" après avoir été sous l’influence d’une voyante, qui aurait notamment utilisé l’argent public pour faire des travaux chez elle, pour lesquels un cadre d’Eiffage serait impliqué.
Après 48 heures de garde à vue, Gilles d'Ettore, maire d'Agde et ancien député a été mis en examen et incarcéré. On lui reproche d'avoir détourné de l'argent public au profit d'une voyante qui l'aurait manipulé.
Le maire d’Agde (Hérault), ancien député UMP, Gilles d'Ettore, a été placé en garde à vue ce mardi 19 mars à la suite d’une perquisition menée en mairie dans la matinée par des enquêteurs de la police judiciaire de Montpellier, dans le cadre d’une enquête dirigée depuis plusieurs mois par un juge d’instruction de Béziers.
La citation directe des 12 prévenus, dont Frédéric Lacas, le maire de Sérignan, et ancien président de l'Agglo Béziers Méditerranée, poursuivis pour prise illégale d'intérêts ou recel de bien provenant d'un délit, a été jugée "irrecevable" par le tribunal de Béziers ce lundi 11 mars.