Revue de presse citoyenne
Revue de presse citoyenne
Le parquet a requis mardi deux ans d'emprisonnement avec sursis contre l'ex-ministre Michèle Alliot-Marie, soupçonnée de prise illégale d'intérêts de 2010 à 2012 alors qu'elle était adjointe à la mairie de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques). Le ministère public a également demandé que «MAM» soit condamnée à payer 50.000 euros d'amende et qu'elle soit déclarée inéligible pendant trois ans.
L’épouse de Nicolas Sarkozy est une proche de Mimi Marchand, figure de la presse people soupçonnée d’avoir orchestré la rétractation de Ziad Takieddine, l’un des accusateurs de son mari dans l’enquête sur le supposé financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.
L’ancienne eurodéputée Maxette Pirbakas, que le RN présentait comme sa « spécialiste de l’agriculture », a été condamnée, jeudi 27 juin, dans une affaire de détournements au sein du syndicat agricole.
Dans un rapport publié lundi, la chambre régionale des comptes d’Auvergne-Rhône-Alpes a pointé du doigt la mauvaise gestion de la monnaie locale et citoyenne lyonnaise. Plusieurs élus écologistes de la métropole sont par ailleurs accusés de «prise illégale d'intérêt».
Il a comparu, en mai, dans une affaire concernant une subvention de 60 000 euros attribuée, dans « des conditions paraissant irrégulières », par la région en 2014 à l’association Green Lotus.
Pierre Mallet, le maire de Benquet dans les Landes et ancien vice-président de l'agglomération a été reconnu coupable de prise illégale d'intérêts. Il doit payer une amende de 10.000 euros. Pierre Mallet fait appel de cette décision.
Le président de la Cadema, Rachadi Saindou et le premier vice-président du conseil départemental, Salime Mdéré, ont été condamnés ce mardi à des peines de prison et d'inéligibilité. Ils étaient accusés de faits de détournement de fonds publics, recels ou encore de prise illégale d'intérêt.
Déjà mis en examen pour corruption, prise illégale d’intérêt et favoritisme, Paul Salvador a attribué plusieurs marchés publics à deux entrepreneurs avec lesquels il est associé personnellement.
Jean-Christophe Cambadélis est jugé au tribunal correctionnel de Paris pour détournement de frais de mandat parlementaire.