Deux cadres d’Emmaüs sont dans la tourmente. La disparition inexpliquée entre 2017 et 2023 de 57.000 euros des caisses de l’association dans le Tarn-et-Garonne a été au centre, mardi soir à Montauban, du procès pour détournement de fonds de deux responsables de l’association caritative et de leurs épouses.
Mis en examen dans l’une des affaires de l’ancien président de la République, l’ambitieux patron du groupe de services numériques Onepoint rêve de se faire un nom dans le capitalisme français.
Le 21 novembre dernier, le tribunal judiciaire de Lyon a relaxé Mediacités face au promoteur Alila, l’un des leaders de la construction de logements sociaux en France. Il a considéré que les poursuites intentées contre la rédaction étaient abusives et a condamné le groupe du PDG Hervé Legros à 5 000 euros de dommages et intérêts et 5 000 euros de remboursement de frais de justice.
Le groupe français de défense Thales a rémunéré en secret, comme consultant, son ancien directeur de l’éthique Dominique Lamoureux, lorsqu’il a quitté le groupe pour entrer au conseil de l’Agence française anticorruption. L’intéressé, qui préside aujourd’hui le comité d’éthique de la SNCF, dément tout conflit d’intérêts.
Le départ de plusieurs de ses collaborateurs pousse Aurore Bergé à réorganiser son équipe. Parmi les profils étudiés, celui d'Elsa Hervy, déléguée générale de la Fédération française des entreprises de crèches (FFEC), se détache.
L'ancien premier ministre Jean Castex, qui a renoncé à son chauffeur en quittant Matignon en mai 2022, a néanmoins bénéficié de 7 849 € en 2022 au titre de ses “dépenses automobiles”.
Les groupes d’intérêt gravitant autour de la législation sur les déchets d’emballage s’adonnent à un lobbying agressif auprès des membres du Parlement européen, en violation des règles de transparence récemment révisées à la suite du Qatargate, selon une source parlementaire.
Deux signalements sont en cours d'évaluation par l'institution judiciaire, a appris actu Paris ce mardi 21 novembre 2023.
Alors que Borne a rappelé la «règle» qui veut qu’un ministre condamné démissionne, le porte-parole du gouvernement se montre incapable de la répéter, préférant défendre son «ami» et appeler à le «laisser tranquille».