L'enquête pour favoritisme visant l'agence dédiée à la transition écologique diligentée par le parquet d'Angers a été classée sans suite. Celle-ci visait l'attribution d'un marché destiné à encourager les transporteurs routiers à réduire leur impact énergétique et environnemental.
Devant la commission d'enquête du Sénat, les trois autorités administratives indépendantes ont réclamé un renforcement de leurs pouvoirs. Le rapport final, mené par Dominique de Legge (LR) et Rachid Temal (PS), reprend leur liste de souhaits.
L’ancien député du Rhône Hubert Julien-Laferrière, dont le nom apparaît dans un vaste dossier portant sur des soupçons d’ingérences étrangères, a été mis en examen, mercredi 24 juillet, pour « corruption passive » et « trafic d’influence passif en bande organisée par un élu public ». L’ex-élu a été présenté à un juge après presque quarante-huit heures de garde à vue. Il reste libre, sous contrôle judiciaire.
Une agence marketing a dénoncé au Parquet national financier l’attribution du contrat de création de la mascotte des Jeux à une filiale d’Havas. Ce groupe est déjà visé par une première plainte pour favoritisme autour de l’emblème de Paris 2024.
Le maire de la commune des Gets (Haute-Savoie), Henri Anthonioz, son premier adjoint ainsi que le directeur général des services de la commune ont été placés en garde à vue les 2 et 3 juillet dans une affaire de soupçons d'irrégularités dans l'attribution d'un marché d'exploitation du domaine skiable.
Dans le cadre des audits qu’elle lance chaque année, l’autorité indépendante a choisi de passer au crible la pertinence des mesures anticorruption de l’armateur marseillais.
Une délégation des plus originales est arrivée lundi 22 juillet à Bahreïn. Emmenée par l'ex-premier ministre français Manuel Valls, elle est conseillée par l'ex-directrice de la communication du Parquet national financier, devenue consultante en affaires publiques.
LyonMag révèle la liste des invités du fameux Dîner des Sommets organisé par la Région Auvergne-Rhône-Alpes le 23 juin 2022 au château de la Chaize dans le Beaujolais. Près d'une centaine d’acteurs économiques, culturels, sportifs ou associatifs d’Auvergne-Rhône-Alpes avait été conviée. La note avait été d'environ 100 000 euros, réglée par la Région.
« Marianne » a eu accès aux documents qui listent les arguments de Matignon pour justifier le retrait du sésame qui permet à l’association anticorruption, qui a notamment porté devant la justice l’affaire Kohler, de se constituer partie civile. Délais d’instruction à rallonge et peut-être même un « faux en écriture », dénoncent les responsables d’Anticor : le camp présidentiel semble avoir utilisé tous les moyens pour parvenir à ses fins.