Sherpa

Affaiblir le délit de prise illégale d’intérêts, c’est affaiblir la confiance des citoyens et citoyennes dans leurs élu·e·s

L’article 18 de la proposition de loi sur le statut de l’élu local propose une réécriture de l’infraction de prise illégale d’intérêts qui en réduit considérablement la portée. Anticor, Transparency International France et Sherpa alertent collectivement sur ce qui constitue une ligne rouge en matière d’éthique publique.

Des ONG franco-libanaises dénoncent l’attribution de la Légion d’honneur à Nagib Mikati

Le Comité de Coordination libano-français (CCLF), qui comprend plusieurs ONG franco-libanaises, a dénoncé mercredi l’attribution de la Légion d’honneur à l’ancien Premier ministre libanais Nagib Mikati, lui reprochant de représenter « un système politique gangréné par la corruption ».

Procès du financement libyen : les manœuvres nucléaires de Nicolas Sarkozy au cœur des débats

Devant le tribunal correctionnel de Paris, Anne Lauvergeon, ancienne dirigeante de la multinationale du nucléaire Areva, a fait part, jeudi 30 janvier, de son incompréhension face à l’activisme de l’ancien président de la République, dès son arrivée au pouvoir, pour aider…

Biens mal acquis et esclavage moderne : les oubliés du domaine de Rifaat al-Assad

Dans les années 1980, l’oncle du dictateur syrien, alors en rupture de ban, s’est installé dans un immense domaine du Val-d’Oise, avec des dizaines de salariés. Depuis, il a été condamné pour blanchiment d’argent et détournement de fonds publics. Les familles autrefois à son service ont été abandonnées à leur sort.

L’ultime manœuvre de Nicolas Sarkozy pour repousser le procès libyen a échoué

La défense de l’ancien président a demandé la réouverture de l’enquête, estimant avoir découvert une pièce à décharge qui lui aurait été dissimulée. Une manipulation à laquelle le tribunal n’a pas donné suite, après un réquisitoire implacable du PNF.

« Biens mal acquis » de l’ex-gouverneur de la banque du Liban: un auditeur mis en examen

Le patron d’un important cabinet d’audit libanais a été mis en examen le 14 mai à Paris pour complicité de blanchiment pour un rapport dédouanant l’ex-gouverneur de la Banque du Liban (BDL) Riad Salamé d’accusations de détournement de fonds publics.