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Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
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Revue de presse citoyenne
Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
Le groupe de Vincent Bolloré a versé près de 80 millions d’euros à une société aux mains du clan présidentiel au Congo-Brazzaville, visée par une enquête judiciaire en France. La cellule antiblanchiment Tracfin s’interroge sur certains versements.
L’association anticorruption a découvert que le pénaliste défendait une conseillère du président Denis Sassou-Nguesso, alors même que William Bourdon accompagne depuis 2008 Transparency International dans l’affaire des « biens mal acquis ». L’avocat n’assistera plus personnellement l’ONG, qui hésite encore sur la…
Montres, bracelets, colliers, bagues… La maire du VIIe arrondissement de Paris n’a pas déclaré une série d’objets de luxe à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Déjà mise en examen pour « corruption » dans l’affaire Carlos Ghosn,…
Saisie en 2015 par la justice française, qui la considère comme « un objet du blanchiment », cette maison des Yvelines appartient toujours au président du Congo-Brazzaville.
Comme tout phénomène criminel, la délinquance en col blanc s’adapte à son époque et aux évolutions législatives. Un rapport policier, obtenu par Mediapart, analyse les méthodes corruptrices utilisées par des entreprises françaises à l’étranger.
Le Parquet national financier a ouvert deux enquêtes préliminaires à l’encontre de Perenco qui appartient à la famille Perrodo. Une troisième procédure judiciaire concerne les activités de la 2e major pétrolière française après Total au Congo-Kinshasa et leur impact sur l’environnement.
Lors de la visite du président de la République démocratique du Congo, le 29 avril, l’Élysée a confié les clés de Clairefontaine au journaliste Jacques Vendroux et à son fils, qui ont ainsi obtenu l’organisation d’un lucratif match de charité du Variétés Club de France à Kinshasa.
Depuis quelques mois, le patron de TV5 Monde est en tournée pour tenter de faire entrer plusieurs pays africains à l’actionnariat de la chaîne, dont le siège est basé à Paris. Si l’objectif affiché d’ouverture à d’autres acteurs de la Francophonie est tout à fait louable, le casting comprend plusieurs États au passif très lourd en matière d’atteintes à la liberté de la presse et dont les chaînes publiques nationales, appelées à être représentées et diffusées, restent des instruments de propagande au service des régimes en place, très loin des standards d’une information libre, plurielle, fiable et indépendante.
Grâce aux documents « Congo hold-up », Mediapart et Investigate Europe révèlent que la société pétrolière française Perenco a payé 1,3 million de dollars à des entreprises contrôlées par des très proches de Joseph Kabila, lorsqu’il était président du Congo-Kinshasa.