La revue de presse > Office européen de lutte antifraude (OLAF)
9 septembre 2024
Assistants fictifs du Rassemblement national : les faux documents de Jordan Bardella
En 2015, comme d’autres petites mains dont le procès s’ouvre le 30 septembre à Paris, le jeune lepéniste était payé par l’Europe mais employé par le RN. Pour camoufler cet emploi fictif, l’actuel président du parti a aidé à produire de fausses preuves de travail, révèle un livre à paraître.
6 mai 2024
Le lobby patronal du « public-privé » enrôle des élus malgré eux
La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, a fait retirer son nom du bureau de l’Institut de la gestion déléguée, un lobby de dirigeants d’entreprises où elle précise n’avoir « jamais siégé ». La maire de Nantes, Johanna Rolland, a fait de même.
15 mars 2024
L’échec de l’enquête sur le recrutement par Uber de la commissaire européenne Neelie Kroes
Les « Uber Files » ont révélé en 2022 que l’ex-dirigeante européenne avait entrepris une relation d’affaires avec la plate-forme de VTC avant la fin de son mandat. Mais l’enquête européenne concernant ce dossier a buté sur un manque de transparence.
2 janvier 2024
Propriété intellectuelle : l’agence européenne hors de contrôle
Gestion opaque du budget, gouvernance défaillante, conflits d’intérêts, recrutements contestés : l’Office européen pour la propriété intellectuelle, qui brasse des centaines de millions d’euros, essuie bien des critiques. À tel point que des plaintes ont été adressées à l’Office européen de lutte antifraude.
16 décembre 2022
La directrice de Frontex menacée par une enquête de l’Office anti-fraude de l’UE
Aija Kalnaja, la patronne par intérim de l’agence européenne de gardes-frontières, était bien placée pour être confirmée à son poste le 20 décembre. La Lettone est cependant concernée par des investigations de l’OLAF. Et son nom est associé au « dossier Baltic Tours », du nom d’une agence de voyage utilisée par Frontex dans des conditions ayant suscité des critiques en interne.
16 avril 2022
Argent public : un rapport accuse Marine Le Pen de détournements, la justice saisie
Un rapport de l’Office anti-fraude de l’Union européenne, transmis il y a un mois à la justice française, accuse la candidate du Rassemblement national d’avoir personnellement détourné près de 140 000 euros d’argent public du Parlement de Strasbourg quand elle était eurodéputée. Révélations.