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La droite accro à la nicotine
Relayés par les médias Bolloré et « Le Figaro », les lobbys du tabac ont fait feu de tout bois pour empêcher l’interdiction des pouches, dont raffolent les adolescents.
Revue de presse citoyenne
Relayés par les médias Bolloré et « Le Figaro », les lobbys du tabac ont fait feu de tout bois pour empêcher l’interdiction des pouches, dont raffolent les adolescents.
Les membres des cabinets ministériels partent se vendre en nombre au plus offrant dans le secteur privé, pour un « pantouflage » en règle. Faute de moyens, la haute autorité chargée de contrôler ces transferts se contente, le plus souvent, de regarder…
Examinée à partir de lundi au Sénat, la proposition de loi sur l’impact environnemental de l’industrie de la mode subit les assauts du géant chinois. Avec en tête de pont l’ex-ministre Christophe Castaner ou l’influenceuse Magali Berdah.
La plainte pour favoritisme visant le marché public de la création de la mascotte des Jeux olympiques de Paris (JOP) attribué à une filiale d’Havas a été classée sans suite. Le Parquet national financier (PNF) a classé cette plainte, déposée quelques semaines avant les Jeux d’été par le studio de création Mascotte Plus, pour absence d’infraction.
Des légions de collaborateurs revendent au plus offrant leur expérience en cabinet ministériel et le réseau qui va avec.
Le Parquet national financier a requis un procès pour corruption contre Vincent Bolloré. Le milliardaire breton est soupçonné d’avoir utilisé sa filiale Euro RSCG pour décrocher frauduleusement la gestion de plusieurs ports.
Une agence marketing a dénoncé au Parquet national financier l’attribution du contrat de création de la mascotte des Jeux à une filiale d’Havas. Ce groupe est déjà visé par une première plainte pour favoritisme autour de l’emblème de Paris 2024.
Les magistrats parisiens soupçonnent le groupe Bolloré d’avoir utilisé les activités de conseil politique de la filiale Euro RSCG pour obtenir frauduleusement la gestion du port de Lomé.
L’homme d’affaires comparaît à partir de mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est accusé d’avoir signé, à la tête de l’électricien public, pour 21 millions d’euros de contrats de conseil sans mise en concurrence. Au profit de figures de l’ombre du monde des affaires, comme Alain Bauer ou Jean-Marie Messier, également convoqués.