Électricité de France (EDF)

Bureaux, voiture, collaborateur attitré… La justice enquête sur les anciens présidents d’EDF

Les moyens financiers mis à disposition de ses ex-patrons par le groupe public sont-ils justifiés ? Le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire sur des soupçons de «détournement de fonds publics» et de «recel» de ce délit.

Possible conflit d’intérêts à la nouvelle autorité de sûreté nucléaire

L’actuel directeur général de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs peut-il prendre la tête de la future autorité de sûreté nucléaire, alors qu’elle devra se prononcer sur le centre de stockage qu’il a développé pendant dix ans ? La question secoue le monde de l’atome.

Dans l’affaire des « consultants stars » d’EDF, la relaxe inattendue d’Henri Proglio

Au vu des audiences qui s’étaient tenues au printemps, et de la confiance du Parquet national financier (PNF) dans la solidité de son dossier, la décision peut apparaître comme une surprise. Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé, lundi 30 septembre, Henri Proglio, PDG d’EDF entre 2009 et 2014, et l’électricien public, qui étaient poursuivis pour « favoritisme ». Il leur était reproché d’avoir passé, sous la direction de l’homme d’affaires, une quarantaine de contrats de conseil avec des prestataires stars sans appel d’offres ni mise en concurrence, pour un montant total finalement évalué à 36 millions d’euros par le parquet dans son réquisitoire, après une première estimation à 22 millions.

Gouvernement Barnier : des ministres sous influence

Plusieurs poids lourds du nouvel exécutif entretiennent des relations privilégiées avec des lobbies privés. Mediapart passe en revue cinq situations qui semblent être aux antipodes des exigences de défense de l’intérêt général.

L’ancien PDG d’EDF Henri Proglio jugé pour favoritisme, le procès d’un homme aux larges réseaux

L’homme d’affaires comparaît à partir de mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est accusé d’avoir signé, à la tête de l’électricien public, pour 21 millions d’euros de contrats de conseil sans mise en concurrence. Au profit de figures de l’ombre du monde des affaires, comme Alain Bauer ou Jean-Marie Messier, également convoqués.