Belgique

Conflits d’intérêts : la Médiatrice européenne enquête sur deux anciens employés d’Europol

La Médiatrice européenne, Emily O’Reilly, a confirmé avoir ouvert une enquête après des allégations de conflit d’intérêts concernant deux anciens employés de l’Agence de l’UE pour la coopération des services répressifs (Europol) ayant rejoint l’organisation de protection de l’enfance Thorn.

Un ancien commissaire européen pris la main dans le cash

Poids lourd de la politique belge, ancien commissaire européen à la Justice, Didier Reynders est depuis le 3 décembre soupçonné d’avoir blanchi près d’un million d’euros reçu en cash. Une enquête au parfum kazakh et aux forts relents de corruption qui pourrait empuantir l’ambiance, en Belgique comme en France où il est un intime de Nicolas Sarkozy.

LVMH ferme sa parenthèse fiscale en Belgique en rapatriant les holdings du groupe

Le groupe de luxe pilote désormais depuis Paris sa banque interne dotée d'un actif de 28 milliards d'euros. Cette société belge dans le collimateur du fisc français depuis 2019 avait suscité la plus grande perquisition civile menée en France. LVMH tente de tirer un trait sur des années de douceurs fiscales décrochées outre-Quiévrain.

Le Parlement européen refuse de payer le directeur de cabinet de Jordan Bardella comme assistant parlementaire

Dans le contexte du procès des assistants parlementaires du FN, le président du RN a demandé l’embauche à temps partiel de François Paradol. Une situation qui prévalait avant 2024, mais que l’institution refuse de reconduire.

Rachida Dati payée 900 000 euros par Renault : ce que le parquet national financier lui reproche

Après cinq ans d’enquête, le PNF vient de requérir un procès contre l’ex-patron de Renault Carlos Ghosn et la ministre de la culture. Le ministère public estime que si Rachida Dati a été rémunérée, c’était dans le but de défendre les intérêts du constructeur automobile au Parlement européen.

Les textos secrets entre le PDG de Pfizer et Ursula von der Leyen devant la justice

Devant le tribunal de l’UE, ce 15 novembre, la défense de la Commission européenne a justifié son refus de rendre publics les SMS échangés entre sa présidente et Albert Bourla par le fait qu’ils ne soient pas si importants. Alors qu’elle négociait les plus gros contrats de l’histoire de l’institution en pleine crise du Covid-19.