Azerbaïdjan

La France épingle les opérations d’influence de l’Azerbaïdjan auprès des indépendantistes des outre-mer

Viginum, le service de l’Etat chargé de détecter les «ingérences numériques étrangères», détaille dans un rapport les campagnes en ligne menées autour du «Baku Initiative Group», une organisation azerbaïdjanaise dont l’activité se focalise sur les mouvements indépendantistes des outre-mer français.

La police décrypte le manuel du pot-de-vin des grandes entreprises françaises

Comme tout phénomène criminel, la délinquance en col blanc s’adapte à son époque et aux évolutions législatives. Un rapport policier, obtenu par Mediapart, analyse les méthodes corruptrices utilisées par des entreprises françaises à l’étranger.

Soupçons d’ingérence étrangère : une demande de levée d’immunité déposée à l’encontre du député Hubert Julien-Laferrière

« Le Monde » a pu consulter des échanges entre l’élu et le lobbyiste Jean-Pierre Duthion qui font mention de paiements pour des interventions, notamment à l’Assemblée.

De Renault au contrat Orange : Rachida Dati, une ministre pas tirée d’affaires

Le constructeur automobile, une société de conseil dans l’énergie et désormais le groupe de télécoms… Les révélations se multiplient sur les activités passées de la ministre, grassement rémunérée par de grandes sociétés parallèlement à son mandat d’élue européenne, et qui la menacent d’un procès.

L’affaire Dati : révélations sur le business caché de la ministre de la Culture

Malgré une mise en examen pour « corruption passive » et « trafic d’influence passif » dans l’affaire Renault, Emmanuel Macron a nommé Rachida Dati ministre de la Culture. Aujourd’hui, « l’Obs » révèle que l’élue était au cœur d’un système plus large. Avec les virements d’un financier mystérieux sur son compte bancaire, des relations sulfureuses et des intérêts privés jamais loin de ses positions publiques.

Immobilier de luxe : comment la France attire l’argent douteux du monde entier

Plus de soixante personnalités étrangères, chefs d’Etat, ministres ou hommes d’affaires controversés, ont investi des centaines de millions d’euros en France pour acheter des maisons ou des appartements de luxe. “L’Obs”, associé à un collectif de journalistes indépendants, dévoile l’ampleur du phénomène, sur lequel plane de forts soupçons de blanchiment d’argent sale. Sous le regard plus que passif des notaires et des autorités.