75 – Paris

Rachida Dati, une nouvelle ministre de la Culture mise en examen pour « corruption » et « trafic d’influence »

Rachida Dati succède à Rima Abdul-Malak au poste de ministre de la Culture. Une nomination annoncée alors que la maire du 7e arrondissement est mise en examen pour "corruption" et "trafic d'influence" dans l'enquête sur ses prestations de conseil auprès de l'ex-PDG de l'alliance Renault-Nissan Carlos Ghosn.

Trois journalistes menacés d’une mise en examen pour leur enquête sur des soupçons de favoritisme dans l’armée

Il leur est reproché d'avoir révélé ou divulgué une information permettant l'identification d'un membre d'une unité des forces spéciales ou de l'état-major du commandement des opérations spéciales, une infraction passible de cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.

Affaire Firmin Le Bodo : la ministre auditionnée en plein remaniement

L’actuelle ministre de la santé d’Emmanuel Macron, en fonction depuis la démission de son prédécesseur Aurélien Rousseau lors du vote de la loi immigration en décembre, a été entendue en audition libre, mardi 9 janvier, dans le cadre de l’enquête qui la vise sur des cadeaux offerts par les laboratoires Urgo. Cette audition en tant que suspecte a été conduite par des enquêteurs de la Dreets (Direction régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités) dans le cadre d’une procédure pénale.

Les cabinets de lobbying établis en Belgique dans le viseur du fisc français

Les services des impôts s'interrogent sur la domiciliation fiscale de cabinets de lobbying, immatriculés à Bruxelles et tournés vers les institutions européennes. La Direction nationale d'enquêtes fiscales (DNEF) a mené une série de perquisitions auprès d'EAP Conseil, cabinet indépendant dirigé par un Français.

Formation des élus : la nouvelle affaire qui menace le Parti communiste

Une vaste enquête judiciaire a été ouverte concernant les activités du Cidefe, organisme de formation historique des élus communistes. La justice suspecte notamment des faits de « détournement de fonds publics » et de « financement illégal de parti politique ».