Passé par l'ENS et l’ENA, il rejoint le Conseil d'État puis évolue dans la sphère publique en travaillant au ministère de la Santé et de l’Action humanitaire. En 1995, il rejoint la Pharmacie centrale des Hôpitaux de Paris. En 2002, il est nommé président d’Emmaüs France. En 2007 il est nommé haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté dans le gouvernement François Fillon. Il est à l'origine du revenu de solidarité active (RSA), qui remplace le revenu minimum d'insertion (RMI). En 2013 il est nommé à la tête de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP), poste qu'il quitte en juin 2022. En septembre 2022, il devient vice-président exécutif de Galileo Global Education, une entreprise privée d'enseignement supérieur.
Epinglé par la HATVP à l'automne, l'ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis Gérard Araud, qui a travaillé pour plusieurs sociétés dont l'entreprise de cybersécurité NSO Group, va subir une retenue de 5 000 euros sur sa retraite de diplomate.
Elle commence sa carrière comme professeure à l'université Paris Dauphine. Elle est ensuite consultante chez Deloitte, puis directrice des affaires européennes et internationales chez AMAFI (lobbying du secteur boursier) avant de rejoindre l'AMF en 2010 en tant que directrice adjoint de la stratégie risques et recherche. De 2014 à 2016 elle travaille comme conseillère senior pour la régulation et les affaires internationales chez ANBIMA, l’association des marchés de capitaux brésilienne, avant de revenir à l'AMF en 2016 comme directrice de la stratégie, puis secrétaire du comité exécutif et responsable de l’unité Stratégie et finance durable à partir de 2018. En avril 2022 elle rejoint la société de gestion d'actifs Blackrock.
Alors que la commune de Plombières-les-Bains essaye de se positionner pour racheter les thermes, leur propriétaire, Bernard Bensaïd, est accusé de prise illégale d'intérêt dans un autre de ses établissements. Une gestion qui mettrait les patients en danger selon certains médecins.
Le propriétaire des thermes de Plombières-les-Bains, dans les Vosges, et patron du groupe AVEC, est pointé du doigt dans un autre de ses établissements. C'est une information de la cellule investigation de Radio France : des praticiens de la clinique mutualiste de Grenoble, l'une des plus grandes de France, l'accusent de prise illégale d'intérêt. Les syndicats Force ouvrière et la CGT sont montés au créneau et ont déposé ce jeudi une plainte contre X. Ils soupçonnent le propriétaire de prélever illégalement 1,7 million d'euros tous les ans sur le budget de la clinique. Une somme qui prendrait la direction du groupe Avec, propriétaire de l'établissement, appartenant lui-même à Bernard Bensaïd.
Le patron de la clinique mutualiste de Grenoble est la cible de deux syndicats et de nombreux médecins. Les premiers ont déposé plainte contre X pour “prise illégale d’intérêts”. Les seconds demandent son départ dénonçant une “mauvaise gouvernance”.
Les syndicats Force ouvrière (FO) et la Confédération générale du travail (CGT) ont déposé plainte contre X auprès du procureur de Grenoble pour “prise illégale d’intérêts”. En cause notamment, une convention de services signée en 2020 entre Bernard Bensaid, le patron du groupe Avec et… Bernard Bensaid, le patron de la clinique (puisque rappelons-le, il occupe les deux postes).
L'influenceur de 24 ans avait profité du «quoi qu'il en coûte» pour s'offrir une vie d'instagrammeur à Dubaï. A l'issue de quasiment une semaine de procès en juin, Paul Antony a été condamné ce mercredi à Paris à sept ans d'emprisonnement et 80.000 euros d'amende.
Adjoint à la Culture jusqu’à sa démission de l’exécutif parisien en 2018, Bruno Julliard a rejoint l’entrepreneur français Frédéric Jousset pour l’aider à monter sa fondation Art Explora, une structure dédiée au mécénat culturel, puis en a pris la direction en 2019. Aux commandes d’Art Explora, Julliard contracte avec des institutions sur lesquelles s’exerçait sa tutelle, comme la Cité internationale des arts. Celle-ci gère, notamment, des résidences d’artistes depuis peu financées par la fondation.
L'ancien patron de Renault continue d'éviter la justice française. Carlos Ghosn ne s'est pas rendu à la récente convocation d'une juge d'instruction parisienne, a appris ce mercredi l'AFP de sources proches du dossier. Cette absence de Carlos Ghosn, qui l'a justifiée par son interdiction de quitter le Liban, ouvre la voie à l'émission d'un second mandat d'arrêt de la justice française, après la délivrance d'un premier mandat, le 21 avril dernier, par un juge nanterrois.
Dans le cadre d’une nouvelle enquête pour « trafic d’influence » et « prise illégale d’intérêts », la justice a découvert des documents dérangeants pour le secrétaire général de l’Élysée. Non seulement il a été beaucoup plus impliqué qu’on ne l’imaginait dans tous les dossiers concernant de près ou de loin l’armateur MSC, mais des documents ont disparu à certains endroits – mais été retrouvés dans d’autres – afin d’effacer les traces de ses interventions.
Suppléant du député LREM devenu secrétaire d’État puis ministre des transports Jean-Baptiste Djebbari, il le remplace à son poste en 2019. En mai 2022, il annonce ne pas briguer sa propre succession, étant devenu directeur du lobby Association nationale pommes poires. Il prend ses fonctions dès mars, alors qu’il est encore élu jusqu’en juin et que la loi interdit aux députés en fonction d’exercer une activité de représentant d’intérêts. Le Monde relève qu’il a siégé dans la mission d’information sur les coopératives agricoles où il a défendu les positions de son futur employeur.