Marine Le Pen, son père Jean-Marie Le Pen, le RN et la direction du parti des années 2010, soupçonnés de détournement de fonds européens, seront jugés du 30 septembre au 27 novembre par le tribunal correctionnel de Paris. En tout, 27 personnes ainsi que le RN en tant que personne morale sont soupçonnés d’avoir mis en place, entre 2004 et 2016, un système de rémunération par l’Union européenne des assistants d’eurodéputés qui travaillaient en réalité pour le parti. Marine Le Pen, qui a toujours contesté ces accusations, sera jugée pour détournement de fonds publics et complicité.
Éric Lucas, ancien maire de Vair-sur-Loire, dans le pays d’Ancenis (Loire-Atlantique), contestait sa condamnation pour favoritisme. La cour de cassation a rejeté, ce mercredi 27 mars, son pourvoi en cassation.
L’émission de France 2 «Complément d’enquête» s’est intéressée au budget alloué au comité d’organisation des Jeux olympiques. Elle a découvert que certains des dirigeants étaient grassement rémunérés, et que d’importantes augmentations de salaires avaient été effectuées.
Igor Kurashenko, qui est intervenu, samedi 23 mars, en duplex sur la chaîne depuis Moscou, travaille aussi pour le média d’Etat russe. CNews, qui n’a pas donné suite à propos de ce curieux mélange des genres, ne l’a pas signalé aux téléspectateurs.
Gérard Tafanel, patron de la célèbre brasserie parisienne La Rotonde, a été condamné en appel à 30 000 euros d’amende et un an de prison avec sursis. Après avoir toujours nié les faits, il a fini par plaider coupable.
Trois ans de prison avec sursis ont été requis par l'avocate générale ce mardi contre l'ancien maire de Toulon, Hubert Falco, dans l'affaire dite "du frigo". La magistrate de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a également demandé une inéligibilité de cinq ans, assortie de l'exécution provisoire.
Dans son rapport annuel publié mardi 26 mars, l’autorité indépendante note une forte augmentation des demandes concernant l’orientation et la protection des salariés révélant des informations sensibles dans le cadre de leur travail.
Portée par le député Olivier Serva, la proposition de loi contre les discriminations capillaires a été soutenue par Kelly Massol, la fondatrice d'une marque de shampoings et de cosmétiques. Cette dernière a mandaté l'agence de com' et de lobbying Artcher pour promouvoir la mesure auprès des parlementaires.
Entendu par les directeurs de Franceinfo, le 14 mars, le journaliste avait reconnu des « avis » et des « retours » sur le manuscrit du candidat d’extrême droite, mais a réfuté, lundi, toute « connivence » ou « conflit d’intérêts ».