Huit élus locaux ont comparu ce 24 janvier 2024 au tribunal de Châlons-en-Champagne. Il leur était reproché d’avoir tiré profit personnellement de votes du conseil municipal d’Oger entre 2012 et 2017. Le tribunal a réclamé une condamnation symbolique.
La fille et ex-directrice de cabinet d’Omar Bongo Ondimba a prévu de se rendre au procès dont elle est l’une des accusés, à partir du 29 janvier, à Paris. On la soupçonne de corruption passive, avec la complicité de l’entreprise française Egis.
Dans un souci d’équité de temps de parole et pour laisser la priorité aux émissions de débat, le groupe audiovisuel public demande aux magazines d’investigations de faire une pause sur ces formats. La rédaction désapprouve ce choix.
Laurella Rinçon est entendue depuis ce matin (mardi 23 janvier ) au tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre pour des soupçons présumés de favoritisme au sein du Mémorial ACTe. Il lui est reproché des faits d’atteinte au Codes des marchés publics entre 2019 et 2022. L’ancienne directrice a rappelé le contexte de l’établissement public.
Le PNF a décidé de demander un nouveau procès à l’endroit de l’ancien ministre du travail, qui avait été relaxé, le 17 janvier dernier, par le tribunal judiciaire de Paris, dans une affaire de favoritisme sur un marché public au profit d’un géant français de l’eau, la Saur.
Plusieurs policiers, qui ont bénéficié de places au Parc des Princes, ont rendu des services personnels, notamment à l’ex-directeur de la communication du club, mis en examen pour « corruption et trafic d’influence ».
Selon un décret publié mardi 23 janvier, la ministre de l’Education doit rester éloignée des actes concernant six sociétés, deux associations et un établissement d’enseignement. D’autres, dont elle est pourtant actionnaire ou dont elle a été administratrice, ne sont pas concernées.
Le projet d’organe éthique européen, censé superviser l’ensemble des institutions, est encore en négociation et ses ambitions demeurent bien loin d’un modèle calqué sur la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique française.
Quinze mois après son adoption par le Sénat, la proposition de loi "encadrant l’intervention des cabinets de conseil privés dans les politiques publiques" sera examinée, mercredi 24 janvier, par la commission des lois de l'Assemblée nationale, avant d'être débattue dans l'hémicycle au cours de la semaine du 29 janvier. Le texte, qui propose de renforcer les pouvoirs à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), prévoit aussi d'encadrer les "allers-retours" de personnels entre administration et cabinets privés.