janvier 2024

Corruption : Suspendu, l’un des dirigeants de l’empire Altice annonce son départ

Il a annoncé son départ sur le réseau social X, où il n’est quasiment suivi par personne. Alexandre Fonseca est pourtant un poids lourd du secteur des télécommunications. Co-PDG du groupe Altice Europe et patron d’Altice aux Etats-Unis, l’homme d’affaires portugais était suspendu depuis six mois en raison de soupçons de corruption. Après plus de dix années au sein de l’empire créé par le milliardaire Patrick Drahi, Alexandre Fonseca serait « parvenu à un accord mettant fin à son contrat de travail ainsi qu’à toutes les fonctions exécutives et non exécutives qu’il exerçait », a fait savoir Altice Portugal.

Trois entreprises condamnées à verser 1,7 million d’euros d’amendes pour corruption au sein du bailleur social de Martigues, la SEMIVIM

Le parquet de Marseille a annoncé ce mercredi 3 janvier que trois sociétés du groupe Omnium développement doivent verser une amende d'intérêt public d' 1,7 million d'euros. La SEMIVIM et la commune de Martigues seront également indemnisées. Ces condamnations font suite à une enquête pour corruption débutée en octobre 2021, au sein du bailleur social de la ville de Martigues.

Six dirigeants de premier plan du sport français visés par des signalements pour parjure

Les présidents des fédérations nationales de tennis, d’équitation et des sports de glace, ainsi que le directeur juridique de celle de football, l’ex-patron du judo français et le directeur général de l’Insep sont soupçonnés de déclarations erronées devant une commission d’enquête parlementaire.

Un vice-président de l’Assemblée était au service du PSG

Il a toujours voulu travailler pour le club parisien, et a multiplié les offres de service. Faute de mieux, c’est comme député macroniste qu’Hugues Renson s’est démené tous azimuts pour le PSG. Les invitations au Parc des Princes qu’il a reçues simultanément pourraient constituer un pacte de corruption aux yeux de la justice.

Deux agences de communication du RN désavouées en appel pour leurs factures de campagne

Le Rassemblement national exigeait le remboursement par l'État de factures émises par e-Politic et Kon Tiki Conseil, deux sociétés de communication mobilisées par Jordan Bardella pour la campagne des européennes de 2019. La cour administrative d'appel de Paris a confirmé que ces dépenses étaient excessives et injustifiées.