Dans sa décision rendue mercredi 29 novembre, la Cour de justice de la République a estimé que le garde des sceaux était certes « en situation objective de conflits d’intérêts » et que ses décisions étaient matériellement constitutives de « prises illégales d’intérêts », mais l’a relaxé, estimant qu’il ne le savait pas.
Procès Dupond-Moretti : une relaxe pour absence d’« élément intentionnel »
Lire aussi
Fraude aux eaux minérales : le rapport qui détaille comment l’Etat et Nestlé ont voulu masquer le scandale Perrier
- 30 - Gard / 75 - Paris / Agence régionale de santé (ARS) / Agnès Firmin Le Bodo / Alexandre Ouizille / Alexis Kohler / Didier Jaffre / Eau / Élysée / Isabelle Epaillard / Jérôme Bonet / Laurent Burgoa / Lobbying / Influence / Ingérence / Muriel Lienau / Nestlé / Roland Lescure / Ronan Le Fanic / Sénat