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Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
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Revue de presse citoyenne
Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
Plus de dix ans après son élection à la mairie de Poissy (Yvelines), le parquet de Versailles a requis lundi huit mois d'emprisonnement avec sursis contre le député macroniste et ex-maire LR de cette commune, Karl Olive, pour prise illégale d'intérêts pendant son mandat municipal. Le ministère public a également requis six et quatre mois de prison avec sursis contre deux autres prévenus, l'actuel directeur de la jeunesse et des sports à Poissy, et son père, ex-directeur adjoint des services de la mairie. Arrivé à la tête de la commune en 2014, Karl Olive est suspecté d'avoir favorisé par le biais d'un montage juridique le recrutement du premier au poste de directeur de la jeunesse et des sports de la ville.
La location d’avions gros-porteurs pour les opérations extérieures de l’armée française aurait donné lieu à des irrégularités coûteuses. Le patron de la société ICS et un ex-colonel de l’armée de l’air font face à des accusations de favoritisme au tribunal de Paris.
Yannick Lucot, l’ancien directeur général de Viltaïs, association spécialisée dans la réinsertion et la prise en charge des mineurs isolés, est cité à comparaître, le 11 décembre devant le tribunal de Moulins pour, entre autres, détournement de fonds publics par une personne chargée de missions de service public.
Joseph Afribo comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières le 21 octobre, dans l’affaire dite des « enveloppes ». Il encourt jusqu’à dix ans de prison et dix ans d’inéligibilité, indique le parquet de Charleville. Il est reproché à l’élu, qui fut durant 32 ans maire du village d’Acy-Romance, d’avoir encaissé, chaque année pendant trois décennies, des enveloppes d’argent liquide déposées en mairie par deux agriculteurs.
Six personnes comparaissent cette semaine au tribunal correctionnel de Marseille pour favoritisme et détournement de fonds publics. Un dossier de probité qui mêle anciens cadres de HMP et avocats proches de la droite locale, époque Gaudin.
Poursuivie notamment pour «détournements de fonds publics», la patronne des députés d’extrême droite doit comparaître fin septembre dans l’affaire des collaborateurs européens qui menace ses ambitions pour la présidentielle de 2027.
A partir de ce lundi 9 septembre s’ouvre devant la 32e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris un procès assez exceptionnel. Huit militaires issus du Centre du soutien des opérations et des acheminements (CSOA) et du Commandement des opérations spéciales sont jugés pour favoritisme, et l’un d’entre eux pour corruption. Ils vont devoir s’expliquer sur la manière dont ont été passés, de 2011 à 2015, des appels d’offres pour le transport des militaires et de leurs équipements sur le théâtre d’opérations extérieures. Ce que le ministère des Armées appelle dans son jargon les «opex». Pour la période concernée, il s’agit essentiellement des missions en Afrique dans le cadre du dispositif Barkhane ou en Afghanistan où sont présents des contingents de soldats français.
Maire depuis 2014, André Bertero a rendez-vous au tribunal judiciaire pour être jugé pour faux, usage de faux, escroquerie, détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts, après avoir falsifié une centaine de délibérations municipales.
Trois ans, dont six mois de prison ferme ont été requis contre Nicolas Best, directeur général du CHU de Nîmes jugé à Paris, pour favoritisme et corruption passive lorsqu'il était à la tête de l'hôpital d'Annecy entre 2015 et 2018 puis à Nîmes de 2018 à 2020.