Ministère de la Culture

Le lobbyiste de TikTok Éric Garandeau dans le collimateur du PNF

Après un signalement de la Cour des comptes, le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire en novembre 2023 à l'encontre d'Éric Garandeau. Les enquêteurs se penchent sur son rôle de consultant pour le Pass Culture, entre 2018 et 2019. Des perquisitions ont été réalisées à son domicile début juin.

La stratégie de défense tous azimuts de Rachida Dati pour échapper à un procès dans l’affaire Ghosn

Les avocats de la ministre de la culture, mise en examen depuis 2021 pour « corruption passive », veulent faire annuler la procédure en invoquant la prescription, mardi 7 mai, devant la chambre de l’instruction. Un énième recours pour obtenir, jusqu’ici en vain, l’abandon des poursuites.

De Renault au contrat Orange : Rachida Dati, une ministre pas tirée d’affaires

Le constructeur automobile, une société de conseil dans l’énergie et désormais le groupe de télécoms… Les révélations se multiplient sur les activités passées de la ministre, grassement rémunérée par de grandes sociétés parallèlement à son mandat d’élue européenne, et qui la menacent d’un procès.

L’affaire Dati : révélations sur le business caché de la ministre de la Culture

Malgré une mise en examen pour « corruption passive » et « trafic d’influence passif » dans l’affaire Renault, Emmanuel Macron a nommé Rachida Dati ministre de la Culture. Aujourd’hui, « l’Obs » révèle que l’élue était au cœur d’un système plus large. Avec les virements d’un financier mystérieux sur son compte bancaire, des relations sulfureuses et des intérêts privés jamais loin de ses positions publiques.

Mise en examen pour « corruption passive », Rachida Dati bientôt renvoyée en correctionnelle ?

Le PNF s’apprête à requérir le renvoi de la nouvelle ministre de la Culture en correctionnelle… pour « corruption passive ». Rachida Dati est soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros de Renault pour des prestations imaginaires. Sauf que la défense de la nouvelle ministre a déposé de nouveaux recours pour cause de prescription. Pas d’éventuel procès en vue d’ici fin 2025 ou 2026.

Art contemporain : les zones d’ombre de la donation du siècle

Négociations mouvementées, expertise controversée, soupçons d’escroquerie… Dix ans après le don à l’Etat de plus de 500 chefs-d’œuvre appartenant au célèbre galeriste Yvon Lambert, Libération révèle les angles morts de ce legs hors normes et sa gestion hasardeuse par les pouvoirs publics.
Entre négociations musclées avec l’Etat, gouffre financier, menaces de délocaliser la collection à l’étranger, œuvres déclarées manquantes ou endommagées, pièces retirées de la donation suite à des protestations d’artistes, gestion erratique du Centre national des arts plastiques épinglée dans un rapport de l’Agence française anticorruption, et même soupçons d’escroquerie et de fraude fiscale visant Yvon Lambert, Libération, qui a eu accès à de nombreux témoignages et documents inédits, dévoile l’histoire mouvementée et les zones d’ombre de cette donation rocambolesque.