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Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
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Revue de presse citoyenne
Sauf mention explicite d’une condamnation non susceptible d’appel, toutes les personnes mentionnées dans l'observatoire sont présumées innocentes. En savoir plus
Visé par un mandat d’arrêt après sa condamnation à trois ans ferme pour avoir notamment organisé son insolvabilité, Marco Mouly se trouve en Israël mais assure qu’il n’est pas en cavale. Il promet de revenir en France pour son procès…
Connu pour son implication dans une vaste escroquerie à la TVA sur les quotas carbone, Marco Mouly est soupçonné d’organisation frauduleuse de son insolvabilité, d’escroquerie au jugement et d’abus de biens sociaux dans le cadre d’une autre affaire.
Connu pour avoir été l’un des protagonistes du « casse du siècle », comprendre l’affaire de l’arnaque aux quotas carbone, l’escroc originaire du quartier de Belleville, à Paris, a appris, vendredi 8 mars, qu’une juge de l’application des peines (JAP) venait de décider de la révocation partielle de son sursis dans une autre affaire, vieille de 25 ans mais pour laquelle il avait été définitivement condamné en 2019 à trois ans de prison.
En 2012, cet homme d’affaires polonais s’était vu infliger un redressement fiscal historique, d’environ 1,2 milliard d’euros. Bien qu’il ait été depuis blanchi par la justice pénale, la Cour administrative d’appel vient de confirmer l’essentiel de cette amende titanesque, ne la réduisant que de 122 millions d’euros. Finalement, le montant réclamé à Consus frôle toujours le milliard : 994 millions très exactement.