Lobbying / Influence / Ingérence

BFMTV, Assemblée nationale… un célèbre politologue expert du Qatar en garde à vue dans une affaire d’ingérence étrangère

Les policiers de la brigade de répression de la délinquance économique ont placé en garde à vue ce lundi un spécialiste du Qatar, Nabil Ennasri, régulièrement invité dans les médias pour son expertise. Une enquête sensible dans laquelle sont également cités un député de la Nupes et un ex-présentateur de BFMTV.

Romain Bonenfant rejoint FFTélécoms

La Fédération Française des Télécoms a nommé comme directeur général Romain Bonenfant, un ancien de l’Arcep qui travaille à la Direction générale des entreprises du ministère de l’Economie et des Finances en tant que Chef du service de l’industrie.

Enquête Uber Files : ce que dit le rapport de la commission d’enquête parlementaire

La commission d’enquête parlementaire consacrée aux Uber Files confirme les informations révélées en juillet 2022 par la cellule investigation de Radio France. Elle dénonce une proximité étroite entre Uber et Emmanuel Macron qui s’est poursuivie après son élection à la présidence de la République.

Un pilier d’Europe 1, ex de « Valeurs actuelles », dans la main des barbouzes des Émirats

Plusieurs journalistes professionnels sont mentionnés comme « sous-traitants » rémunérés par l’agence du détective Mario Brero pour ses missions au service des Émirats arabes unis. Parmi eux, Louis de Raguenel (Europe 1, ex-« Valeurs actuelles »), mais aussi Ian Hamel, qui collabore notamment avec « Marianne » et « Le Point ».

Nicolas Sarkozy, les louanges à Poutine et la piste de l’argent du Kremlin

L’ancien chef de l’État a touché 300 000 euros au moment où il vantait, fin 2018, les mérites de Vladimir Poutine lors d’une soirée à Moscou du principal fonds souverain russe. L’argent a été versé par une société qui porte le même nom qu’une filiale de ce fonds.

Soupçons de corruption dans l’UE : de vraies-fausses ONG au cœur de l’enquête

L’ONG fondée par l’ancien eurodéputé italien Panzeri, inculpé dans le scandale de corruption qui éclabousse le Parlement européen, disposait de comptes bancaires en Belgique, mais aussi au Maroc et au Qatar. L’enquête belge se concentre sur ces structures qui ont pu jouer le rôle de lobbys masqués au service d’États autoritaires.

Corruption au Parlement européen : un mystérieux espion marocain au cœur de l’enquête

Après les réseaux d’influence du Qatar à Bruxelles, l’instruction s’intéresse à ceux du Maroc. Et particulièrement à un homme : Mohamed B., un agent de la DGED, déjà identifié par Paris dans une autre affaire, mais jamais retrouvé.