L'élue de droite devait être jugée ce 27 novembre aux côtés de deux autres prévenus, dont son compagnon, dans une affaire d'attribution de marché public portant sur un dispositif de vidéosurveillance à Porticcio. Le dossier sera audiencé le 12 mars.
Une investigation a été ouverte par le parquet de Paris en juin. Elle fait suite à un signalement de l’association de lutte contre la corruption Anticor, en février 2023, pour des faits présumés de « détournement de fonds publics ».
Le troisième procès dans l'affaire des emplois fictifs de François Fillon une nouvelle fois renvoyé. Si l'ex-Premier ministre a été reconnu coupable de détournement de fonds publics en avril 2024, les sanctions à son encontre devaient être réexaminées ce lundi 25 novembre. La cour d'appel de Paris a finalement renvoyé l'audience au 29 avril 2025, en raison de l'absence d'un avocat, hospitalisé.
Une perquisition a été menée au port de Nice, dans les Alpes-Maritimes, mercredi 20 novembre, dans le cadre d'une enquête pour détournement de fonds publics, a appris France Bleu Azur(Nouvelle fenêtre) auprès du procureur de la République de Nice, confirmant une information de Nice-Matin(Nouvelle fenêtre). L'enquête porte sur la campagne des législatives en 2022 du député niçois.
L’ancien maire de Mantes-la-Jolie entre 2005 et 2017, sera jugé le 23 mars 2025 pour détournement de fonds publics. Il est accusé de s’être fait rembourser des frais et plusieurs cadeaux.
Ex-collaborateur du patron des députés LR, quand celui-ci présidait la région Auvergne-Rhône-Alpes, Emmanuel Boyer dirige l’office de tourisme du Puy et contrôle le principal journal local. Il se trouve aujourd’hui au cœur de l’enquête judiciaire ouverte sur le marché public truqué des halles ponotes pour favoritisme et corruption, élargie depuis à d'autres dossiers.
Le maire d’Évreux Guy Lefrand a fait l’objet d’une enquête préliminaire du parquet de Rouen pour « prise illégale d’intérêts », classée sans suite mi-octobre. Il avait voté en faveur d'un plan d'investissement de 200 millions d'euros qui allait bénéficier, notamment, à une clinique privée d’Évreux où il travaillait en même temps comme médecin urgentiste et à laquelle il a accordé, par ailleurs, un permis de construire. Sauf que le Parquet national financier (PNF) s’intéresse désormais à cette affaire.
Le tribunal correctionnel de Beauvais rend sa décision ce mardi à 8h30 dans le dossier Stéphane Haussoulier. Le président du Département de la Somme a été jugé en octobre pour abus de confiance, d’escroquerie et de blanchiment. Le parquet a requis 2 ans de prison avec sursis, 3 ans d’inéligibilité.
L’ancien Premier ministre a proposé récemment à l’Assemblée nationale de lui verser près de 700.000 euros sur les 10 prochaines années. Un moyen de se présenter sous son meilleur jour avant son ultime procès prévu le 25 novembre.