Emmanuel Macron

« Rafale Papers » : le document qui implique Michel Sapin et Emmanuel Macron https://buff.ly/3NOh5Ld

Le groupe Reliance, soupçonné d’avoir été imposé par le premier ministre indien comme bénéficiaire du contrat des Rafale en 2015, aujourd’hui au centre d’une affaire judiciaire, a bénéficié au même moment d’une intervention politique dans son contentieux fiscal en France. Le tout à la suite d’un courrier adressé par son patron aux ministres de l’époque : Michel Sapin et Emmanuel Macron.

L’amendement « Château de Versailles » pour prolonger le mandat de Catherine Pégard rejeté par le Sénat

Sollicité pour permettre le prolongement du mandat de Catherine Pégard, 68 ans, à la tête de l’établissement public de Versailles, le Sénat s’est braqué. Le sénateur François Patriat, au terme d’un débat houleux, a préféré retirer l’amendement qu’il défendait avec l’appui de la ministre des sports, Amélie Oudéa-Castéra. L’épreuve démocratique est cruelle pour Emmanuel Macron et son gouvernement, qui avaient concocté cette parade législative pour garder l’ex-journaliste du Point au poste qu’elle occupe depuis 2011.

Macron reçoit un ex-premier ministre, candidat à la présidence tchèque, accusé de fraude fiscale

L’ancien premier ministre tchèque Andrej Babiš a été reçu en toute discrétion à l’Élysée mardi 10 janvier. Une façon pour Emmanuel Macron de soutenir le candidat à la présidentielle, épinglé par les Pandora Papers et visé par une enquête du Parquet national financier. En France et en Europe, les critiques se multiplient.

Un tiers des anciens ministres d’Emmanuel Macron ont rejoint le privé

Après la « start-up nation » en politique, la « Macron touch » dans l’économie ? Depuis la fin du premier quinquennat du président de la République, pas un mois ne passe sans qu’une entreprise annonce avec fierté le recrutement de l’un de ses anciens ministres. Selon les calculs du Monde, vingt-quatre des soixante-cinq personnalités qui avaient un portefeuille ministériel entre 2017 et 2022 occupent désormais des fonctions dans le privé.

Campagnes de Macron : McKinsey et Renaissance perquisitionnés

Des perquisitions ont été menées mardi 13 décembre aux sièges parisiens de McKinsey et du parti Renaissance. Ces perquisitions ont été conduites par les juges d’instruction dans le cadre de deux informations judiciaires ouvertes en octobre. L’une d’elles porte sur l’intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales de 2017 et 2022 d’Emmanuel Macron, et l’autre sur le recours plus général de l’Etat à ces cabinets de conseil, selon des sources proches du dossier.

Les juges soupçonnent Alexis Kohler d’avoir « participé » à des décisions sur l’armateur MSC, lié à sa famille

Les magistrats instructeurs reprochent notamment au secrétaire général de l’Elysée d’avoir « persisté », entre 2012 et 2016 dans les cabinets de Pierre Moscovici puis Emmanuel Macron à Bercy, « à émettre des avis ou donner des orientations stratégiques » sur des dossiers « impliquant le groupe MSC ».

Cabinet de conseil McKinsey : la justice enquête sur les comptes de campagne d’Emmanuel Macron en 2017 et 2022

Trois juges d’instruction enquêtent sur la sincérité des comptes des campagnes victorieuses d’Emmanuel Macron en 2017 et en 2022. En toile de fond, les relations entre le chef de l’État et son entourage avec le cabinet américain de conseil McKinsey et les conditions d’attribution de contrats publics.

« Uber Files » : une plongée inédite et alarmante dans la boîte noire du lobbying

L’enquête du « Monde » et de ses partenaires illustre comment une multinationale peut recourir à des moyens colossaux, des jeux d’influence à très haut niveau et des méthodes agressives pour faire changer la loi à son avantage.
Des documents internes à l’entreprise, analysés par « Le Monde », montrent comment, entre 2014 et 2016, le ministre de l’économie Emmanuel Macron a œuvré en coulisse pour la société de VTC, qui tentait d’imposer une dérégulation du marché et affrontait l’hostilité du gouvernement. Emmanuel Macron a été, à Bercy, plus qu’un soutien, quasiment un partenaire. Un ministre qui suggère à Uber de transmettre des amendements « clés en main » à des députés amis ; un ministre qu’Uber France n’hésite pas à solliciter en cas de perquisition dans ses locaux ; un ministre qui, ce 1er octobre 2014, « s’excuse presque » de l’entrée en vigueur de la loi Thévenoud, d’après un compte rendu du rendez-vous écrit par le lobbyiste Mark MacGann pour ses collègues anglophones.
Le groupe américain a aussi rémunéré des experts, dont les économistes français Nicolas Bouzou et Augustin Landier, pour réaliser des études sur mesure et prendre sa défense dans les médias.

Une lobbyiste du vin au cœur du quinquennat et de la campagne électorale d’Emmanuel Macron

Des documents obtenus par « Le Monde » révèlent comment Audrey Bourolleau, ex-conseillère du chef de l’Etat, a défendu à l’Elysée les intérêts du secteur de l’alcool, après avoir été la déléguée générale de l’organisation de lobbying de la filière viticole.