La revue de presse > Caisse des dépôts et consignations (CDC)
3 août 2024
La Caisse des dépôts invente un « golden parachute » d’un nouveau type
Numéro deux de la CDC, Olivier Sichel a démissionné de la fonction publique et a aussitôt été réembauché avec un contrat de droit privé. Mediapart, qui avait saisi la Cada, est parvenu à l’obtenir. Il offre à son bénéficiaire des indemnités de départ sulfureuses, proches de celles en vigueur dans les groupes du CAC 40.
27 mars 2024
Un pantouflage hors norme sape l’ancrage public de la Caisse des dépôts
Numéro 2 de la Caisse, Olivier Sichel a démissionné le 1er janvier de la fonction publique et a été réembauché le même jour sous un contrat de droit privé, avec des avantages complémentaires. Le comité exécutif de la CDC n’est plus composé en majorité de fonctionnaires.
20 mars 2024
Soupçons de favoritisme à la Caisse des dépôts: procès de six hommes dont le patron d'ADP
Le procès de six hommes, dont le patron d'Aéroports de Paris (ADP) Augustin de Romanet et l'ex-secrétaire général de l'Elysée Jean-Pierre Jouyet, soupçonnés de favoritisme à la Caisse des dépôts, est prévu à partir de jeudi et pour une semaine à Paris, mais pourrait être reporté.
19 mars 2024
Le goût immodéré pour le théâtre du patron de la Caisse des dépôts
Éric Lombard, le directeur général de la Caisse des dépôts, a tenu à prendre aussi la présidence du théâtre des Champs-Élysées dont l’établissement public est l’actionnaire et qu’il subventionne massivement. Ce cumul a dû être aménagé, tardivement, pour minimiser le risque juridique.
29 juin 2022
Paris : des logements sociaux inaugurés sur un ancien terrain de la famille Al-Assad
Trente-quatre logements sociaux ont été inaugurés mercredi à Paris sur un terrain ayant appartenu à Rifaat al-Assad, l'oncle du président syrien, dans l'un des quartiers les plus huppés de l'Ouest parisien. La mairie de Paris avait versé 9,5 millions d'euros d'indemnités d'expropriation à la Caisse des Dépôts. En septembre 2021, l'ancien vice-président de Syrie Rifaat al-Assad, âgé de 84 ans, avait été reconnu coupable par la cour d'appel de Paris de blanchiment en bande organisée et de détournement de fonds publics syriens entre 1996 et 2016. La cour avait ordonné la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis, évalués à 90 millions d'euros, et l'avait en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison. La Cour de cassation examinera le 7 septembre le pourvoi formé par Rifaat al-Assad.