Affaire Carlos Ghosn / Renault

Rachida Dati attaque en justice le président du groupe Renault

Mise en examen dans l'affaire Ghosn-Renault depuis 2021, Rachida Dati a cité en justice l'actuel président du conseil d'administration du groupe, Jean-Dominique Senard, pour « entrave à la justice » et « omission de témoigner en faveur d'un innocent ».

L’affaire Dati : révélations sur le business caché de la ministre de la Culture

Malgré une mise en examen pour « corruption passive » et « trafic d’influence passif » dans l’affaire Renault, Emmanuel Macron a nommé Rachida Dati ministre de la Culture. Aujourd’hui, « l’Obs » révèle que l’élue était au cœur d’un système plus large. Avec les virements d’un financier mystérieux sur son compte bancaire, des relations sulfureuses et des intérêts privés jamais loin de ses positions publiques.

Mise en examen pour « corruption passive », Rachida Dati bientôt renvoyée en correctionnelle ?

Le PNF s’apprête à requérir le renvoi de la nouvelle ministre de la Culture en correctionnelle… pour « corruption passive ». Rachida Dati est soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros de Renault pour des prestations imaginaires. Sauf que la défense de la nouvelle ministre a déposé de nouveaux recours pour cause de prescription. Pas d’éventuel procès en vue d’ici fin 2025 ou 2026.

Affaire Carlos Ghosn : L’ancien patron de Renault absent à une nouvelle convocation en France

L'ancien patron de Renault continue d'éviter la justice française. Carlos Ghosn ne s'est pas rendu à la récente convocation d'une juge d'instruction parisienne, a appris ce mercredi l'AFP de sources proches du dossier. Cette absence de Carlos Ghosn, qui l'a justifiée par son interdiction de quitter le Liban, ouvre la voie à l'émission d'un second mandat d'arrêt de la justice française, après la délivrance d'un premier mandat, le 21 avril dernier, par un juge nanterrois.

La justice française émet un mandat d’arrêt international contre Carlos Ghosn

La justice française a délivré un mandat d’arrêt international contre Carlos Ghosn, ancien président-directeur général de l’Alliance Renault-Nissan (RNBV), dans le cadre d’une enquête instruite à Nanterre (Hauts-de-Seine), notamment pour abus de biens sociaux et blanchiment, a déclaré le parquet de Nanterre, vendredi 22 avril, confirmant des informations du Wall Street Journal.