Cinq mois après avoir claqué la porte de La Banque postale en raison de désaccords sur la stratégie de la filiale de La Poste, Olivier Lévy-Barouch est de retour dans les fusions-acquisitions.
Ce document détaille ses conditions salariales très favorables, quand l’actuelle ministre de l’éducation et des sports était à la tête du tennis français, et souligne son peu d’empressement à mettre en place des structures veillant à l’éthique.
Le groupe audiovisuel public assure que l’éditorialiste politique a fait le choix de ne pas intervenir sur les sujets centrés autour de sa nièce devenue ministre. Mais cette mise en retrait est très relative, et commence à faire jaser en interne.
La nouvelle ministre de la Culture est mise en examen depuis 2021, suspectée d’avoir perçu indûment une rémunération de la part du groupe Renault, ce qu’elle conteste. Ses avocats, forts de nouveaux éléments, assurent que les faits sont prescrits.
À l’issue de la seconde édition de sa consultation citoyenne, la Cour des comptes a notamment retenu comme thème de contrôle celui des “passages entre le secteur public et le secteur privé”, traité sous l’angle de la probité et de la déontologie.
Nasser Al-Khelaïfi, président qatari du Paris Saint-Germain, a porté plainte jeudi 18 janvier pour "violations, orchestrées, orientées, parcellaires et tronquées, du secret professionnel, du secret de l'enquête et du secret de l'instruction", ont annoncé vendredi 19 janvier dans un communiqué ses avocats Renaud Semerdjian et Francis Szpiner.
Déjà soupçonné d’avoir fait la promotion d’un escroc camerounais à la demande d’un lobbyiste, le député du Rhône Hubert Julien-Laferrière est suspecté d’avoir soutenu un ex-dirigeant kazakhstanais contre de l’argent, dans le cadre de ses activités parlementaires.
L’enquête sur les soupçons d’ingérence étrangère dans la politique et les médias français progresse à grands pas. Mis en examen le 8 décembre, le journaliste Rachid M’Barki a reconnu pour la première fois avoir perçu de l’argent liquide pour diffuser des sujets orientés sur BFMTV, mais se dit « manipulé ».
L’ex-ministre Michèle Alliot-Marie sera jugée pour « prise illégale d’intérêts » dans une affaire de subvention municipale versée à une association que présidait son père à Saint-Jean-de-Luz.