Probité

Affaire Alpexpo à Grenoble : jusqu’à dix mois de prison avec sursis requis contre d’anciens dirigeants du centre de congrès

Jeudi 2 mai, deux anciens PDG et une ancienne directrice d’Alpexpo comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Grenoble, soupçonnés notamment de favoritisme de 2012 à 2015. Des peines de prison avec sursis ont été requises contre les trois mis en cause. Le jugement, mis en délibéré, sera rendu le 2 juillet.

Financement libyen de la présidentielle : Carla Bruni-Sarkozy entendue comme « mise en cause » après la rétractation de Ziad Takieddine

La femme de Nicolas Sarkozy a été entendue dans les locaux de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Elle est repartie sans poursuites judiciaires à ce stade.

Megève dépose plainte contre le maire de Saint-Gervais Jean-Marc Peillex pour favoritisme

La Ville de Megève embauche l’avocat renommé, Alain Jakubowicz, pour démontrer sa bonne foi dans l’attribution de la délégation de service public des Crêtes et soupçonne le maire de Saint-Gervais, Jean-Marc Peillex, de délit de favoritisme.

Le maire du Barcarès mis en examen et en détention provisoire pour des soupçons de corruption

Alain Ferrand, maire Divers droite (DVD) du Barcarès (Pyrénées-Orientales) a été interpellé en début de semaine et mis en examen mardi 30 avril 2024 pour « corruption par un élu public, favoritisme, prise illégale d’intérêt » concernant la gestion de marchés publics relatifs aux villages de Noël de la commune entre 2012 et 2024. L’élu a été placé en détention provisoire.

Favoritisme au MACTe : Laurella Rinçon condamnée à un an de prison avec sursis

Laurella Rinçon s’en est allée sans un mot, ce mardi matin, après avoir été informée de sa condamnation pour atteinte au code des marchés publics. L’ancienne directrice du MACTe écope d’une année de prison avec sursis, de 10.000€ d’amende. Elle est inéligible et interdite d’emploi public durant deux ans.

Affaire des emplois fictifs : Penelope Fillon a démissionné de son mandat municipal

La veille de sa démission, la Cour de cassation maintenait la condamnation de Mme Fillon à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 375 000 euros d’amende et deux ans d’inéligibilité, obligeant la Franco-Britannique à quitter ses fonctions de conseillère municipale.