Saisie en 2015 par la justice française, qui la considère comme « un objet du blanchiment », cette maison des Yvelines appartient toujours au président du Congo-Brazzaville.
Le milliardaire français a joué des pieds et des mains pour éviter de comparaître dans cette affaire impliquant notamment Bernard Squarcini, l'ancien numéro un du renseignement français. Mais le président du tribunal n'a rien voulu entendre.
La Cour administrative d'appel de Paris vient de rejeter le recours déposé par American Express Carte France (AECF) contre un coûteux redressement fiscal. Le litige portait sur des montages financiers complexes impliquant plusieurs entités du groupe américain de cartes de crédit.
Le parti de Marine Le Pen était prié par la justice de s'acquitter d'une dette fiscale de 1,8 million d'euros dans le cadre de l'affaire dite des "kits de campagne". Le Rassemblement national s'est désisté d'un recours au tribunal administratif de Paris, mais un autre contentieux demeure.
Alors que la pêche artisanale se meurt et que sa pratique industrielle ravage la biodiversité marine, le maire de Lorient et nouveau ministre de la mer vante ses liens avec les lobbys, et favorise les intérêts des plus gros acteurs du secteur.
Ce réseau de fraude, impliquant la mafia italienne, a conduit à une quarantaine de mandats d’arrêt. L’enquête a permis d’évaluer à 1,3 milliard d’euros le montant des fausses factures émises.
Les robots transformés en lanceurs d’alerte ? Avec l'aide d'informaticiens et d'ingénieurs, l’association « pour l'éthique en politique » Anticor a lancé un outil d'intelligence artificielle pour identifier de potentiels conflits d’intérêts et des anomalies dans les passations de marchés publics.
Dépourvues de financement public, de nombreuses associations d’élus nouent des partenariats avec des entreprises privées pour financer des événements ou des actions. Chacune met en place ses propres garde-fous pour limiter les risques de collusion.
Mathieu Paquerot a commercialisé auprès de son université les services de la société de son épouse, engrangeant ainsi licences, droits d’auteur et heures supplémentaires, sans que la présidence y trouve rien à redire. Le parquet de La Rochelle a ouvert une enquête.