Incontournable dans le gotha mais discret sur l’origine de sa fortune, le ressortissant britannique investissait à tour de bras dans les meilleurs quartiers de la capitale. Mis en examen pour fraude et blanchiment, il est sorti de garde à vue moyennant une caution de 30 millions d’euros. Et délesté de 460 millions d'euros par la justice.
La procédure d’attribution du plus important marché français des eaux opposant Suez et Veolia pourrait être entachée d’un soupçon de favoritisme. Le Syndicat des eaux d’Île-de-France, le Sedif, organisateur de l'appel d'offres, a indûment transmis des données confidentielles.
Depuis 2020, elle était conseillère chargée des affaires européennes et internationales auprès du ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti.
Le groupe Altice assure être « victime » des pratiques de son ex-numéro deux Armando Pereira, mis en examen pour « corruption active et passive », « fraude fiscale » et « blanchiment ». Le PDG d’Altice Patrick Drahi pouvait-il vraiment ne rien savoir ? Des documents issus des « Drahi Leaks » démontrent les liens étroits entre les deux hommes.
L’homme d’affaires portugais Armando Pereira, compagnon de route de Patrick Drahi, avait été arrêté le 13 juillet dans le cadre d’une enquête mettant en cause plusieurs cadres de la filiale portugaise du groupe de télécoms et de médias.
L’actrice aux cinq César, Isabelle Adjani, connue pour ses rôles dans L’été meurtrier (1983), La Reine Margot (1994) ou plus récemment Mascarade (2022), sera jugée le 19 octobre 2023 par le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale et blanchiment.
Après s’être inquiétée de « questions déontologiques » dans un récent rapport dédié aux activités d’investissements de la banque publique, la Cour des comptes vient de transmettre le dossier au PNF.
Le propriétaire de SFR et BFM TV tente de prendre ses distances avec son ancien bras droit, actuellement en détention provisoire. Pas évident : celui-ci a financé la plupart de ses projets, d’Altice USA à Sotheby’s.
En contradiction avec ses précédentes décisions, l'ancien bureau fédéral a signé, juste avant le changement de gouvernance, une convention repoussant à loin l'éventuel remboursement des frais d'avocat de Bernard Laporte, dont le montant a été entre-temps ratiboisé.