Actualité

Incarcéré depuis le 21 mars dans l’affaire de la voyante, le maire Gilles d’Ettore a démissionné

Gilles d’Ettore (LR) n’est plus le maire d’Agde. Mis en examen pour détournements de fonds par une personne dépositaire de l’autorité publique, prises illégales d’intérêts et corruption, il est en détention provisoire depuis le 21 mars. L’édile, élu sans discontinuer à la tête de la commune depuis 2001, en a fait la demande auprès du préfet Francois-Xavier Lauch, qui l’a accepté.

Emmanuel Macron promet à la FIFA un écrin fiscal en 2025

À la demande du président de la République, une disposition fiscale favorable à la FIFA sera proposée dans le cadre du projet de loi de finances 2025. L'organisation menée par Gianni Infantino avait suspendu son projet de transfert de siège à Paris après la censure par le Conseil constitutionnel, en décembre, d'une mouture particulièrement avantageuse.

Affaire des cabinets de conseil : perquisition au ministère de la santé dans le cadre d’une information judiciaire pour « favoritisme »

Les gendarmes de la section de recherches de Paris ont perquisitionné le siège du ministère, ciblant le recours croissant par l’Etat aux cabinets de conseil, dont McKinsey, étroitement lié au chef de l’Etat.

Le Tennis club de Sathonay-Village soupçonné de détournement de fonds publics

Le tennis club de Sathonay-Village est dans le viseur de la justice. Une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon pour des soupçons de "détournement de fonds publics". "Les investigations sont toujours en cours", a confirmé le parquet de Lyon, précisant qu’un adhérant de cette association a signalé avoir été auditionné par des gendarmes de la brigade financière.

Cabinets de conseil : deuxième feu vert du Sénat, qui renvoie la balle au gouvernement

Le Sénat a adopté mardi en deuxième lecture, à l'unanimité, la proposition de loi destinée à encadrer les prestations de conseil commandées par les administrations aux cabinets privés, et exhorté le gouvernement à rapidement la faire examiner par l'Assemblée nationale. Plus d'un an et demi après l'examen du texte en première lecture, le scénario s'est répété: la plupart des amendements défendus par le gouvernement ont été rejetés, notamment celui qui visait à soumettre les collectivités locales aux nouvelles obligations.