Corruption en Asie : une société de cybersécurité basée en France accepte de payer une amende de 16 millions d’euros contre l’abandon des poursuites

Cette convention intervient dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte notamment des chefs de corruption d’agent privé et de corruption d’agent public étranger à la suite du signalement d’un lanceur d’alerte en date du 22 janvier 2021. Ce dernier était un ancien salarié de l’entreprise.